Les tontons macoutes de la macronie à l'oeuvre .

par Diviciac Lun 30 Sep - 20:17

Pour info , en vertu de l'arrêté du 24 décembre 2013, tous les flics devraient porter un numéro d'identification. La personne qui a demandé ce numéro ne réclamait que l'application de la loi .

Article 2

Les agents qui exercent leurs missions en tenue d'uniforme doivent être porteurs, au cours de l'exécution de celles-ci, de leur numéro d'identification individuel.
Toutefois, en raison de la nature de leurs missions, sont exemptés de cette obligation de port :
― les personnels chargés de la sécurité des sites de la direction centrale du renseignement intérieur ;
― les personnels chargés de la sécurité des bâtiments des représentations diplomatiques françaises à l'étranger ;
― les personnels appelés à revêtir leur tenue d'honneur lors de cérémonies ou commémorations.

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028387708&categorieLien=id

par Invité Lun 30 Sep - 22:54

Houuu ...le gros vilain policier !

par Diviciac Lun 30 Sep - 23:53

Nestor a écrit:Houuu ...le gros vilain policier !

N'en a aussi des zilets zaunes qui sont crès méssants et qui font bobo aux policiers:

par Invité Mar 1 Oct - 11:59

Les machettes trouvées sont à rapporter au commissariat le plus proche..........

par Diviciac Mar 1 Oct - 13:53

Zerbinette a écrit:Les machettes trouvées sont à rapporter au commissariat le plus proche..........

Moi aussi, j'ai cru que "macoute" se rapportait à la machette mais c'est pas ça.
Une machette, j'en ai longtemps eu une dans la bagnole (une Tramontina made in Brazil) je justifiais sa présence par une autorisation de récupérer du bois dans une forêt domaniale.

par Invité Mar 1 Oct - 14:13

Ca s'appelle "l'affouage",bon moyen de ne pas payer son bois pour l'hiver!

par Diviciac Mar 1 Oct - 14:47

Zerbinette a écrit:Ca s'appelle "l'affouage",bon moyen de ne pas payer son bois pour l'hiver!

Dans mon cas ce n'était pas vraiment ça : j'avais obtenu du garde, avec lequel j'avais sympathisé lors d'un sortie scolaire, la disposition d'une parcelle de châtaigniers qui avaient séché sur pied.
Le dimanche j'emmenais mes gamins débarder, débiter et charger ils rechignaient un peu jusqu'à ce qu'un de mes potes sportifs qui faisait de la muscu vienne m'aider et dise au bout de deux heures "C'est vachement dur, je ne viendrai plus ! "
J'ai alors compris que je leur en demandais peut-être beaucoup, à mes fils. Ils devaient avoir une dizaine d'années et n'adhéraient que moyennement à mes velléités de réincarner Monsieur Ingalls ..

En fait, je reproduisais l'éducation que j'ai eu puisque, le dimanche, mon frangin à cinq ans et moi à sept, nous cassions du bois de récup livré par l'usine de papa afin de nous chauffer durant l'hiver .
Mais ça n'a pas fonctionné : mes garçons ont vite compris que ce qui était dans ma jeunesse une nécessité était, chez le bourge que j'étais devenu, une lubie à but éducatif . Et, soutenus par leur mère madame mon épouse, ils m'ont envoyé paître avec mon bois.

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