Ne cherchez pas querelle à la Turquie” menace Erdogan ciblant Macron

La Turquie qui s'exporte grâce à son propre président.

Avant le si fameux "kebab", quelle relation entre Recep Erdogan et "ses" propres Turques et Turcs établis à l'étranger et donc aussi en France et en Allemagne ? Du "loup gris" en tranchettes aussi dans ce si fameux Döner Kebab qui suit une intervention présidentielle turque pour surveiller le séditieux Demiral et son équipe sur terre allemande ?

Les Döner Kebab turcs mais allemands d'abord car produits aussi à Berlin, rehaussent-ils la Turquie et sa réputation internationale ? Quelle meilleur force pour la Turquie à l'étranger ? Recep Erdogan en couple pour une visite politico-footballistique moralisatrice en Allemagne, ou un Döner Kebab pas trop cher vendu par un émigré turc en Allemagne ? Le Döner Kebab germano-turc comme meilleur ambassadeur que Recep Erdogan ?
Istanbul International Airport critiqué par Vladimir Poutine pour ses largesses terroristes tadjiks comme sujet accepté ainsi par Recep Erdogan, et donc les Döner Kebab fabriqués en Allemagne plus graves que "l'opération spéciale" russe contre l'Ukraine. Transiter par la Turquie "internationale" de Recep Erdogan et de sa famille en prenant quels risques ?

Une sorte d'isolationnisme dédollarisé présidentiel turc inspiré par ce si fameux modèle chinois pas encore autant inflationniste à Pékin qu'à Istanbul ou Trabzon. Peut-être.

Demiral consomme-t-il secrètement du vin turc même blanc ou éventuellement gris de gris ?

Turkish Airlines va-t-elle devoir quitter Istanbul International Airport sur dénonciation poutinienne russe confirmée par Recep Erdogan après avoir servi du vin rouge turc sur un vol en direction de la France et pas sur un vol "jus de fruit" en direction du Caire ?

Collaborer ou négocier avec quelle Turquie pour un avenir intéressant pour la France ?
Recep Erdogan et "madame", les seuls à pouvoir accéder à Paris-Champagne depuis cette Turquie donneuse de leçons diverses tout en haut de son état présidentiel ? Vouloir pénétrer presque de force l'UE depuis Ankara, avec une conception du monde inadaptée pour commencer déjà à la modernité turque qui existe pourtant dans sa consommation absolument freinée par Recep Erdogan.

Quelle consommation peu connue tout en haut de l'état présidentiel stambouliote turc ?

      

L'inflation extérieure à Recep Erdogan qui se montre une fois de plus en "sauveur de la nation" avec tout un regroupement stambouliote collé à cette présidence aussi "familiale" et perméable à bien des incursions étrangères moins défendables que celles en provenance de l'UE et donc de la France. L'intransigeance européenne pour agacer le "tout-puissant" Erdogan, qui a donc besoin de se profiler en s'associant à des occasions livrées par la Russie de Vladimir Poutine ou la Chine des "brics" de Xi Jinping par exemple.

L'inflation nationale truque traitée encore et toujours par Recep Erdogan qui a lui-même installé son importance quasi messianique coranique dans tout son pays, au milieu du monde international aussi occidental.

La désinflation nationale truque est-elle séparée de cette inflation personnelle et présidentielle turque qui déstabilise encore et toujours le pays entier ? L'inflation nationale turque, avec quelle inflation personnelle et présidentielle imposée par Recep Erdogan sans véritable discours intéressant ou même compréhensible pour la France de l'UE ? Recep Erdogan a-t-il aussi débuté sa désinflation personnelle ?
L'inflation présidentielle individuelle turque de Recep Erdogan peut-elle être chiffrée par la Turquie elle-même ? Plaire à Recep Erdogan d'abord, comme espèce de "politique" nationale censée permettre à la Turquie de sortir de son ornière ? Une espèce de constance comportementale présidentielle turque avec Recep Erdogan et ses "fans", dans une Turquie pourtant en proie à des mouvements d'ascenseurs massivement pénalisants. Recep Erdogan toujours à l'aise dans ses retraites et avec la sienne.

Néanmoins, l'impossibilité d'accuser la France pour Recep Erdogan pour ce qui est de cette inflation nationale turque qui demande - semble-t-il - des investissements nouveaux en provenance de l'étranger.

Servir la patrie, ou se faire servir d'abord en favorisant la déflation ?

Donc, les BRICS plutôt que l'UE pour Recep et Emine Erdogan toujours perméables aux remarques de Vladimir Poutine dès que cela décolle à Istanbul.