Lettres de jeanne d'Arc à Napoléon.
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Lettres de jeanne d'Arc à Napoléon.
Chasles, célèbre mathématicien, a acheté des milliers de lettres autographes bidons de personnages historiques au faussaire Vrain-Lucas (rechercher sur Gougueule)
Voici quelques exemples, allégés de leur ancien français de pacotille :
De Socrate à Euclides :
Au pays des Gaules où vous devez partir, je vous recommanderai un mien ami, par la lettre ci-jointe. Et je viens vous dire par cette lettre qu’Anitus et Mélitus m’accusent d’impiété. Ils peuvent bien me faire mourir, mais ils ne sauraient me nuire. La fortune peut bien m’enlever la santé, les richesses, les faveurs d’un peuple ou d’un prince, mais elle ne sauraient me rendre méchant, m’ôter le courage ni me faire perdre cet esprit de prudence plus nécessaire à l’homme dans le cours de sa vie que le pilote ne l’est au navire voguant sur une mer hérissée de rochers. Ainsi, comme je vous l’ai déjà dit maintes fois, très aimé Euclide, je vous recommande trois choses : la sagesse, la pudeur et le silence ; sur ce, je vous souhaite bon voyage.
De Cléopâtre à César :
Mon très aimé, notre fils Césarion va bien. J’espère que bientôt il sera en état de supporter le voyage d’ici à Marseille où j’ai dessein de le faire instruire, tant à cause du bon air qu’on y respire des belles choses qu’on y enseigne. Je vous prie donc de me dire combien de temps vous resterez encore en ces contrées, car je veux y conduire moi-même notre fils … C’est vous dire, mon très amé, le contentement que je ressens lorsque je me trouve près de vous, et, en attendant, je prie les Dieux de vous avoir en considération.
De Jules César au chef des Gaulois :
Je t’envois un mien ami qui te dira le but de mon voyage : je veux couvrir de mes soldats la terre qui t’a vu naître. C’est en vain que tu voudras la défendre. Tu es brave, je le sais, mais moi aussi je le serai, s’il plaît aux Dieux ;ainsi, rends moi tes armes ou prépare toi à combattre.
De Dagobert à St Éloi :
Ce que vous m’engagez à faire pour la mémoire du bien-heureux Denis, qui, le premier, vint dans les Gaules pour y prêcher la foi de Jésus Christ a été exécuté, comme vous ne l’ignorez pas, par la très illustre Geneviève de Nanterre. Quoiqu’il en soit, je suivrai votre conseil et ceux faire bâtir près de cette église un monastère portant ce nom et où sera mon oriflamme. Aussi, venez me voir, et nous ferons le plan de celui-ci ensemble.
De Charles Quint à Rabelais :
Vous qui avez l’esprit fin et subtil, me pourriez-vous satisfaire ? J’ai promis 1.000 écus à celui qui trouvera la quadrature du cercle, et nul mathématicien n’a pu résoudre ce problème. J’ai pensé que vous qui êtes ingénieux en toutes choses me satisferiez. Si vous le faites, vous recevrez une forte récompense. Que Dieu vous vienne en aide.
Voici quelques exemples, allégés de leur ancien français de pacotille :
De Socrate à Euclides :
Au pays des Gaules où vous devez partir, je vous recommanderai un mien ami, par la lettre ci-jointe. Et je viens vous dire par cette lettre qu’Anitus et Mélitus m’accusent d’impiété. Ils peuvent bien me faire mourir, mais ils ne sauraient me nuire. La fortune peut bien m’enlever la santé, les richesses, les faveurs d’un peuple ou d’un prince, mais elle ne sauraient me rendre méchant, m’ôter le courage ni me faire perdre cet esprit de prudence plus nécessaire à l’homme dans le cours de sa vie que le pilote ne l’est au navire voguant sur une mer hérissée de rochers. Ainsi, comme je vous l’ai déjà dit maintes fois, très aimé Euclide, je vous recommande trois choses : la sagesse, la pudeur et le silence ; sur ce, je vous souhaite bon voyage.
De Cléopâtre à César :
Mon très aimé, notre fils Césarion va bien. J’espère que bientôt il sera en état de supporter le voyage d’ici à Marseille où j’ai dessein de le faire instruire, tant à cause du bon air qu’on y respire des belles choses qu’on y enseigne. Je vous prie donc de me dire combien de temps vous resterez encore en ces contrées, car je veux y conduire moi-même notre fils … C’est vous dire, mon très amé, le contentement que je ressens lorsque je me trouve près de vous, et, en attendant, je prie les Dieux de vous avoir en considération.
De Jules César au chef des Gaulois :
Je t’envois un mien ami qui te dira le but de mon voyage : je veux couvrir de mes soldats la terre qui t’a vu naître. C’est en vain que tu voudras la défendre. Tu es brave, je le sais, mais moi aussi je le serai, s’il plaît aux Dieux ;ainsi, rends moi tes armes ou prépare toi à combattre.
De Dagobert à St Éloi :
Ce que vous m’engagez à faire pour la mémoire du bien-heureux Denis, qui, le premier, vint dans les Gaules pour y prêcher la foi de Jésus Christ a été exécuté, comme vous ne l’ignorez pas, par la très illustre Geneviève de Nanterre. Quoiqu’il en soit, je suivrai votre conseil et ceux faire bâtir près de cette église un monastère portant ce nom et où sera mon oriflamme. Aussi, venez me voir, et nous ferons le plan de celui-ci ensemble.
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