La Suisse de parade …

"Il" dans quelle boite bancaire suissesse ?

Le contenant bancaire suisse intitulé "UBS" est il de bon aloi ?

Entreprendre une opération depuis l'UBS ... mais avec qui et quel passé dans cette "banque" ?

La boite bancaire Crédit Suisse est-elle moins rouillée et décatie que la "belle" et grosse marque bancaire "UBS" ?
Et si - enfin - le Conseil fédéral minable actuel était éjecté de tout le bancaire helvétique avant ces espèces de manoeuvres quand même douteuses ?

🦷🪥


Une banque suissesse avec ses différentes couches. Des couches, mais pas forcément toutes de la même qualité honnête.



Néanmoins différentes couches dans ce Crédit Suisse car différentes qualités et différentes occupations. La couche des employé(e)s qui se manifeste subitement est-elle de meilleure qualité que certaines autres couches de ce Crédit Suisse qui méritent d'être séparées de celle des cadres par exemple ? 
La sévérité helvétique à l'encontre de ce Crédit Suisse est-elle à l'avantage inique de l'UBS ? Y a-t-il ou y avait-il des couches ou une couche malhonnête au Crédit Suisse qui est déjà en lien avec cette UBS si "impressionnante" depuis Berne ?

La couche "clientèle" Crédit Suisse est-elle aussi en mesure de porter plainte quelque part après que tout ce qui concerne "les employé(e)s" soit réglé ?
La clientèle de Crédit Suisse est-elle moins respectée par le Conseil fédéral que la clientèle de l'UBS ? Y compris celle qui est peut-être installée en France.

Une belle choucroute de plus en plus suissesse que cette séquence "Crédit Suisse" ... mais qui met aussi en route d'autres histoires.





Le Crédit Suisse ?
Un peu tôt pour le noyer dans "UBS" ?

Crédit Suisse avec l'UBS non loin. Un passé à reprendre peut-être quand même car l'UBS avec des effets négatifs sur les affaires qui ont peut-être troublé le Crédit Suisse ensuite.

Le rôle des médias suisses et de leurs employé(e)s à mettre aussi peut-être sur la table dans toute cette affaire du Crédit suisse actuel. Des médias suisses partisans ou alors dans un rôle strictement neutre ?

Quel véritable bancaire honnête et performant en Suisse, et surtout sans la vieille croûte décatie qui l'a occupé et qui l'occupe encore depuis belle lurette ?

Etre associé(e) avec du pas bien joli que de travailler en tant qu'employé(e) à l'UBS ? Réfléchir à une démission lorsque l'on est payé(e) par l'UBS ou alors risquer une accusation pour "association de malfaiteurs" ou de "collusion" si en plus l'on y connait des faits répréhensibles déjà aujourd'hui ? Un Conseil fédéral très "amie et ami" avec ce haut gratin bancaire helvétique de cette UBS qui avait aussi des relations avec cette France voisine si prude et si prompte à attaquer la Suisse sur son "paradis fiscal" ou ses "banques grises ou noires" méritant une liste.

Les belles et grandes banques françaises et si parisiennes ?
Des employé(e)s aussi détenteurs et détentrices de faits douteux à mettre "à l'actif" de ces banques post-Bernard-Tapie ou alors que du beau ? Avant une démission ...!

Une commission parlementaire enquêtera sur le rachat de Crédit Suisse par UBS
Procédure: Une commission parlementaire enquêtera sur le rachat de Credit Suisse par UBS | Bilan

Le Conseil fédéral a dit vendredi accorder son «plein soutien» à la création d’une commission d’enquête parlementaire, une initiative rarissime dans l’histoire du pays.

Une clique "sympa" au Conseil fédéral suisse depuis longtemps pour des retrouvailles du même style aussi "à l'armée" ou dans "les banques" ou "les assurances" ...! Le "sport aussi avec" grâce à ces liens si lucratifs pour certaines lorsque le CIO s'en mêle. L'inénarrable Adolf Ogi encore une fois adoubé par Alain Berset pour une espèce de "combat" ou de "relance" sur des sujets minables et largement télévisés "chaque année".     
Néanmoins l'état du pays helvétique qui est en train de se rendre compte d'une petite partie de l'iceberg de couleur plutôt jaunâtre depuis bien longtemps aussi.

"Bien entendu" une "commission" pour une "enquête" comme réaction maximale de la part d'un Conseil fédéral largué depuis bien longtemps, mais pas sur ses "propres" richesses.

Donc, cette espèce de marmite couverte et prétendument étanche que sont ces mouvements entre le Crédit Suisse et l'UBS, avec des affaires et des procès aussi en France récemment et peut-être encore maintenant et aussi demain. 
Donc un Conseil fédéral qui doit garantir la marmite et ensuite expliquer ce qu'il y avait dedans. Tout en sachant que le Conseil fédéral et ceux d'avant y sont depuis longtemps dans cette sauce suissesse bien cachée ... dans la marmite bancaire entre autres.

Pourquoi pas d'autres commissions d'enquêtes parlementaires en Suisse grâce au "génie" fribourgeois "d'Alain" et à la "fraicheur de la nouvelle Jurassienne" sur d'autres sujets que ce "rachat".

Le grounding de Swissair ?
Les relations entre le Conseil fédéral et l'UBS au fil du temps ?
La place du CIO au Conseil fédéral ?
Les liens d'Adolf Ogi avec qui aussi éventuellement en France et à l'ONU après Sion ?
La place de l'UEFA au Conseil fédéral ?
La place de la FIFA au Conseil fédéral ?
Le passé du Conseil fédéral avec la France ?

Avec Darius Rochebin pour en informer la France.    

La Suisse pour un dimanche de plus.
Un dimanche car après d'autres jours ...!



Des "changements" au Conseil fédéral, mais pas suffisamment pour avoir enfin une Suisse capable de se reconnecter à son passé efficace et effectivement enrichissant. Les ploucs bien garnis suissesses et suisses comme espèce de must pour d'autres gros bourgeois parfois français qui peuvent ainsi se rassurer bêtement mais pas forcément pour longtemps.
Le "sport" ou des machins hyper convenus et cloisonnés pour avoir une Suisse qui plait à ses "propres" familles placées abusivement en haut "du pays". Des journalistes hyper dociles et faussement capables de comprendre "l'étranger". Un "étranger" qui commence déjà immédiatement en sortant de "sa maison" ou de "son appartement" à Zurich, Lausanne ou Berne puisque "des Jugos" ou "des Portugais" ont "de nouveau fait" ...! Puis encore une fois le Blick ou Le Matin avec les chaines TV "nationales" pour une reprise des "matchs" du weekend. Les banques associées "à ces événements" et aussi "les assurances" qui mettent de l'agent que sur ces machins ineptes et bidouillés et très rarement sur des situations éventuellement culturelles un peu plus porteuses. Une ou deux petites bouffées originales, mais très vite la "police" ou des réactions agressives de gens complétement largués sur le plan de la modernité. Le CIO ou les grosses "organisations" malhonnêtes à l'aise en Suisse et très vite rassurées par le pouvoir en place.

Des partis politiques mal intentionnés dans le fond, avec des personnes qui ne se manifestent pas de manière sincère avec beaucoup de rétentions et de non-dits. Les petits copinages pour placer des gros lards et des grosses dindes "aux belles places" y compris "privées" et "économiques" pour un état réel du pays peu engageant. Les produits suisses comme espèce de mur qui permet de faire croire à "des douceurs aussi dans la bouche" par exemple à Paris.

Le cadenassage de la Suisse comme verrue au centre de l'Europe et comme "modèle" à suivre ou à prendre lorsque l'on est prête à faire comme eux ... et elles ...! 

Quelques jours encore avant ce "12 juin" pour des "activités" UBS complétement claires et cleans comme toutes celles d'avant.

La Suisse avec une super banque "UBS" plus toutes les autres plus petites et qui ont aussi quelques soucis à se faire au vu de leurs gestions pas forcément toujours loyales peut-être ...! 
UBS toujours prête à prendre ces autres banques peut-être indélicates, car "UBS" au-dessus de toutes ces autres banques helvétiques. Pourquoi "UBS" pour "reprendre" Crédit Suisse et pas - par exemple - une banque cantonale ou la MIGROS ?

Crédit Suisse disparu mais peut être aussi des révélations sur cette UBS pas si franche du collier que cela pour être pareillement soutenue et pareillement portée au pinacle par des "autorités politiques" suissesses assez peu engageantes pour ce qui est des bilans personnels d'abord. Et si le Crédit Suisse renaissait de ses cendres plus tard si cette "UBS" et son Conseil fédéral devaient enfin être jugés correctement ?

      
       

Sport business

Aucune remise en cause sérieuse depuis la Suisse journalistiquo-médiatique de tout ce grand raout faussement clean et "sportif" qui permet à une brochette de continuer à enfiler sa viande et en en mettant d'autres sur le grill dès le plus jeune âge.
Le CIO et sa FIFA ou son UEFA toujours bien planquées en Suisse avec les ploucs ou les ahuris de "la branche" médiatique qui poursuivent une espèce de starification de machins pourtant gnomesques au mieux. Paris en extase non loin.

L'occasion d'avoir une rupture avec un passé pas si glamour que cela ... avec quelques enquêtes un peu plus "approfondies" aussi sur le territoire helvétique ..., mais ? Encore et toujours ces articles et ces infos hyper formatées qui permettent à une coterie de garder sa place et son gros fric même avec les réalités de Madrid.

Donc, un "bilan" aussi journalistique depuis cette Suisse qui a beaucoup de billes dans tout ce volume "foot". Des sponsors et des machins aussi aux USA pour avoir encore et toujours un "club" fermé qui se retrouve volontiers en arrière rideau. Un Conseil fédéral toujours très protecteur et protectrice de tout cela avec ses polices aussi "cantonales" ...!  

Les journalistes, les footballeurs, les dirigeants, les politiques ?
Un même club un peu "spécial" y compris avec les renforts français ?
Les problèmes bancaires helvétiques actuels ? Un lien quand même et toujours avec cette excellence de petite taille bien soutenue médicalement dès le plus jeune âge ?

Des chiffres assez clinquants la plupart du temps et qui permettent de parler du "modèle suisse" à Paris ... mais aussi une clique bourgeoise grasse et moche au pouvoir depuis bien longtemps à Berne et ailleurs. Des copinages massifs pour accaparer des postes et des richesses en produisant ensuite des "bilans" et des "études" assez peu crédibles sauf pour que le CIO pourri puisse continuer à enchanter Lausanne et donc Paris.

Lutter "contre l'inflation" mais pas contre cette armée corrompue et inefficace et contre tout le reste qui fait de l'UBS "l'excellence mondiale" en terme de qualité bancaire. La Suisse toujours considérée comme un pays "exemplaire" et qui a donc par exemple un IDH très encourageant et une place de choix à l'OCDE. Bien des gens hautement validés dans le monde grâce à une association même passagère avec la Suisse qui ont beaucoup à perdre si les deux voiles du Crédit Suisse se déchiraient enfin sur la réalité politique suissesse.

Un ménage dans cette BNS si superficielle dans le fond ? Des liens avec la France et sa Banque "de France" depuis cette BNS pas si indépendante que cela ? Les responsables de cette BNS avec quelle crédibilité actuelle pour envisager un voyage à l'étranger ?

Où commence l'honnêteté bancaire en Suisse, avec en plus tout le lobby des assurances qui pompe un fric énorme en toute tranquillité pour l'instant du moins ?

"& Co" ...!

Bernard Arnault et son "empire" LVMH aussi de l'autre côté du Jura et du Léman pour une escapade aussi tessinoise.

Le volume suisse de Bernard Arnault est-il peu connu en méritant une bonne fois pour toutes un bilan qui passe aussi par ce CIO qui est en pourparlers divers avec LVMH en vue "de Paris" ?

Bien des espèces d'accusations diverses ou d'anathèmes de la part de la France dirigés contre "les comptes en Suisse" ou les machins bancaires et fiscaux "gris" ou "noirs" ... mais aussi les grosses pointures françaises qui sont tout de même établis discrètement en terres helvétiques. Un Conseil fédéral suisse avec quelle "vigueur" face à Bernard Arnault et à sa famille économico-financière ?

Combien de comptes "LVMH" ou "Bernard Arnault" en Suisse ou quelles sommes d'argent du même groupe en Suisse ?
LVMH ?
Une "société" française ou plutôt un machin d'abord établi en Suisse ?

Quelles sont les autorités suissesses ou les grandes pointures du même pays qui ne sont pas suffisamment honnêtes pour contrôler "Bernard" ou "LVMH" at home c'est à dire en Suisse comme par exemple au Tessin ?

Le travail porté physiquement en Suisse.
Néanmoins une pénurie malgré les grandes pointures mondiales du "défi physique" que sont le CIO et tous les autres machins qui lui sont soumis comme la FIFA ou l'UEFA. Des prix élevés et une Suisse de moins en moins attractive pour des forces étrangères.
Bientôt des robots aux guichets de cette UBS qui garde encore et toujours le gros fric gras des gros bourgeois suisses qui sont des gens incapables de faire avancer ce pays helvétique qui a quand même séduit Paris et la France pour des "jeux" olympiques encore une fois aussi lausannois ? Les "grands champions olympiques" futurs de Paris, aussi des robots bidouillés pour se mettre au niveau de "Kylian" ?

Le "contact" d'abord et un accueil à la mode suissesse ... pour un avenir encore et toujours "neutre" voire carrément déshumanisé. "Le modèle suisse" avec quelles lacunes tout de même pour en arriver là ?

L’UBS au-dessus.

Le Crédit Suisse en-dessous.

Le Conseil fédéral garant de cette « reprise » ou « fusion » et aussi de tout ce passé helvétique parfois bancaire. Donc … la nouvelle « UBS » pour un avenir serein et sans tache construit sur tout un passé y compris parfois « sportif ».

Les événements sponsorisés par le Crédit Suisse et l’UBS tout comme certaines grandes personnalités du sport ou autre, validées par cette manœuvre officielle suissesse.



L’UBS actuelle ainsi que le Conseil fédéral du même tonneau pour une espèce d’excellence qui garantit la pureté de tout ce paquet bien lié aussi au sacrosaint CIO lausannois. Cette espèce de grand groupe avec une valeur supérieure dans le fond … à l’argent que l’UBS et le Conseil fédéral doivent justement garder et manipuler. L’argent aussi international dans des mains suissesses qui serrent bien souvent celles du CIO ou celles d’autres machins pourris et quand même protégées par les ploucs helvétiques y compris policiers et militaires. La France et Paris toujours « enthousiasmées » par ces approximations suissesses au mieux.

Le Crédit Suisse nettoyé de son passé douteux doit-il résister avec ses clientes et clients à l’UBS et au Conseil fédéral de manière à garantir « autre chose » en Suisse lorsque l’argent apparait ? Quel sponsoring encore une fois douteux de la part de l'UBS après avoir "avalé" le Crédit Suisse ?  

Le Parquet Financier (PNF) enquête depuis des années sur une ribambelle d’excentricités dans l’attribution des marchés liés aux JO: prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme. Tout ceci en parallèle de procédures pour «travail dissimulé» et «emploi d’étranger sans titre en bande organisée» touchant les entreprises de construction. 

Une enquête au loin et le petit monde de la Suisse bourgeoise qui poursuit "son petit bout de chemin" en étant toujours bien planqué avec son CIO qui fait rêver son peuple ...!


Une procédure ailleurs qu'à Lausanne commentée "calmement" et rétrospectivement par un média qui appartient au pays qui protège depuis fort longtemps Thomas Bach et son "association". Pour une enquête française et parisienne efficace, quand une procédure du même acabit en Suisse ... et diligentée par qui de manière ... ... honnête et donc crédible ?

Démissionner ou être nommé pour avoir encore et toujours le CiO bien planqué en arrière rideau avec ses coffres helvétiques bien garnis.
Infecter le monde entier grâce à des corruptions et à des complicités toujours souriantes et "sportives". Des "budgets", des "financements" avec un CIO lausannois totalement protégé en Suisse et donc hors comptabilité crédible depuis toujours.

Berset-Lappartient comme virus cancéreux avec d'autres du même tonneau pour des "politiques" parfois aussi françaises ...!

Quelle incursion et toujours dans quel sens ? Depuis le CIO en direction de l'extérieur au travers de "David" et "Alain" ... ? Ou dans quel autre sens ?

David Lappartient quel lien déjà maintenant avec la Suisse et peut-être avec son conseil fédéral ?

Avec le médiatique gnangnan habituel, que ce soit du côté suisse ou que ce soit du côté parisien. La surface olympique ... mais quand enfin des réparations et une pénalité avant que "Kylian" ne puisse allumer la flamme aussi pour "sa FIFA" ?

Les personnes qui font donc autorité dans cette nouvelle affaire bancaire sont donc des gens irréprochables et inattaquables tout comme les systèmes bancaires de l'UBS, de la Fed et des banques étasuniennes ...!

Crédit Suisse peut-être pas encore mort dans le fond si les "repreneurs" ou "contrôleurs" ne sont pas suffisamment honnêtes et donc compétents. Avec les si fameuses banques françaises en dehors de tout cela, mais peut-être pas quand même.

Pour ce qui est des banques françaises peut-être pas si séparées d'Alain Berset et des siennes, les actionnaires et les clientes et clients de ces établissements "assurances et banques" français ont-ils aussi des raisons de se plaindre ? Et où pour avoir enfin une justice bancaire en France ?

Plus le reste ...!

La Suisse exemplaire avec tout de même ce Crédit Suisse, son UBS et encore et toujours son Conseil fédéral.
Puis donc des "élections" avec un populisme aussi en Suisse, et en l'occurrence "de droite" car la gauche par exemple "socialiste et suissesse" sait de quoi elle parle.

Des sujets calibrés par des médias helvétiques incultes la plupart du temps avec le gros fric des banques, des assurances et des grosses et gros bourgeois ... pour un paysage politique assez peu porteur d'avenir. A quel niveau d'utilité le débat politique en Suisse aussi pour l'étranger et donc l'UE ? Une sorte de France bis que cette Suisse "populiste" avec des pauvres complétement absentes et absents des préoccupations quotidiennes de la classe dirigeante helvétique. Qui le plus facilement exportable depuis la Suisse ? Allain Berset ou un travailleur honnête qui paie son loyer, ses cotisations et les habits de ses enfants ?

Une sorte de réalité suissesses à ras le goudron mais avec le lobby au pouvoir qui se gargarise en soutenant par exemple le CIO lausannois et bientôt très parisien. Les chiffres "officiels" de la Confédération" avec quelle garantie et donnée par qui depuis "Berne" ?

Examiner cette "reprise" pas encore définitive du Crédit Suisse par l'UBS. Mais aussi et peut-être, examiner ce Conseil fédéral toujours "olympique" et donc irréprochable qui a peut-être bien des billes peu confédérales dans toute cette affaire aussi internationale et donc française.

La COMCO en toute "indépendance" peut-être ...!

Bien des possibilités encore pour cette espèce de "reprise"-"fusion"-sauvetage" du Crédit Suisse par l'UBS. Donc une séparation obligatoire du politique suisse qui est pourtant déjà intervenu dans tout cela et des deux banques helvétiques impliquées. L'UBS est-elle séparable du Conseil fédéral de façon à ce que la COMCO puisse être crédible aussi pour garantir un crédit suisse en Suisse ?
Les banques françaises sont-elles séparables du politique aussi français ?

Scruter à la loupe ...!

Scruter quoi ?
Et qui est capable de scruter l'UBS honnêtement en Suisse et au départ de France par exemple ?

Tout ce volume qui critique le Crédit Suisse voire pire est-il blanc comme neige pour scruter la belle UBS ensuite ? Le Conseil fédéral bernois et donc suisse est-il crédible dans cette affaire bancaire qui a donc un présent et un avenir immaculé grâce à cette UBS qui est associée à bien des groupes peut-être pas si cleans que cela depuis fort longtemps. Le Crédit Suisse est-il seulement un bouc émissaire ?

L'UBS dans quelle "league" et pour quel "match" non truqué aussi en France ?