La Suisse de parade …

La Suisse comme corbeille pour "la corbeille" avec sa ou ses valeurs et donc ses "cotations" ...!

Des valeurs helvétiques anciennes pour une richesse peu crédible aujourd'hui suite à bien des renoncements nationaux d'abord.
Des "puissances" étrangères liées un peu bêtement à cette Suisse stéréotypée et incapable de naviguer bien loin de ses propres frontières. Un Conseil fédéral décati garant des transactions et des situations économico-financières sur son sol voire aussi ailleurs ...! Des grosses sommes pour relancer une marque bancaire mais pas pour nettoyer ce pays central européen qui est en proie à des difficultés internes depuis fort longtemps en dépit de poses constamment figées faites pour rassurer et garantir ainsi un "beau voyage" à Paris-Elysée.

Une Suisse confuse pour plaire encore à des structures qui ont bien de la peine à remettre en cause cette FIFA et ce CIO toutes puissantes à Lausanne.     

Les registres du commerce cantonaux ont enregistré en novembre 925 défaillances d’entreprises à l’échelle nationale, soit près de 16% de plus qu’un an plus tôt.

À l’accélération des disparitions des sociétés vient s’ajouter un ralentissement des créations.

La Suisse avec son génie national ... au pouvoir à Berne "pour acheter le Rafale" et faire "tout ce qui faut pour l'pays" ...!   

Un lobby politico-militaire atone et inepte qui garde pourtant sa place au sein d'un monde médiatique complaisant à son égard que ce soit à Zurich ou à Paris.

La créativité et l'initiative au top du top en Suisse à Zurich et Lausanne avec ce CIO et cette FIFA qui profitent d'un socle ancien solide pour se profiler sur du simple qui plait quand même à l'Argentine au Qatar.
Une organisation qui profite à un petit nombre bourgeoisement installé dans des alcôves de plus en plus moches et nocives pas seulement pour la Suisse.
Les entreprises nouvelles faussement accueillies par "les banques", "les assurances" et par tout le gratin niaiseux qui sourit de façon crispée face aux énergies suissesses qui vont vite se rendre compte du manque de force de cette zone "économique" en vase de plus en plus clos.

Une base pour porter quoi et pour qui en Suisse ... en continuant de payer "les cotisations pour les assurances obligatoires" en regardant la télé grâce à des écrans plats achetés à crédits ... avant de se les faire confisquer par le fisc local ?      

Nestlé "toujours solide" avec Manu ...!

Le niveau des prix en Suisse a été largement supérieur à celui des 27 pays de l’Union européenne (UE) en 2021. Selon des résultats provisoires sur la parité de pouvoir d’achat publiés jeudi par l’Office fédéral de la statistique, il a dépassé de 54,4% la valeur moyenne sur le Vieux-Continent.

Un pouvoir d'achat. En Suisse.
En y vivant ou en venant de l'étranger sans faire encore partie du CIO, de la FIFA ou de l'UEFA par exemple ...!

Des prix à la consommation élevés avec des strates ou des niches "obligatoires" continuellement contrôlées par la bourgeoisie nantie helvétique associée à un lobby bancaire et militaire très friqué malgré des "compétences" diverses et économiques minables sauf pour soutenir des "jeux à Paris". Des gens avec les moyens et d'autres avec pas assez.

Une sorte de peau grasse sur le lait suisse qui recouvre tout le territoire même lorsqu'elle est rance, c'est à dire toujours ...!

Des hauts prix pour faire croire à une sorte de qualité faites d'exigences "à reprendre" lorsque Marine Le Pen ou d'autres grosses pointures politique françaises parlent du "modèle suisse" en le reprenant et en le commentant bêtement lors des débats décisifs en haute république française télévisée.

Néanmoins l'avenir de ce pays en alleingang au centre de l'Europe avec une grande partie de sa population qui étouffe sans avoir trop de perspectives nouvelles et encourageantes grâce au dynamisme national uniquement capable d'un aller-retour en direction de Paris-Elysée. 
Des espèces d'analyses journalistiques sporadiques avec des commentaires fort brefs pour "y voir plus clair" ... dans un monde suisse qui préfère parler des nouveautés sociales internationales qui permettent au Conseil fédéral de rester ce qu'il est, c'est à dire un gros tas gras.

Avec une balance commerciale suissesse qui doit aussi vendre pas trop cher à "l'exportation".    

La Suisse véritablement "neutre" ou alors un territoire sécurisé qui permet à certains potentats de se relancer une fois de plus ?

La Suisse passive et toujours et encore protectrice de structures qui ont leur planque aussi bancaire au pays de Guillaume Tell qui a bien de la peine à viser les bonnes cibles depuis fort longtemps. La Russie bien accueillie encore et toujours à Nyon, Zurich, Lausanne et donc aussi au Conseil fédéral à Berne. Une capitale helvétique bien peu regardante en ce qui concerne les agissements du CIO, de l'UEFA et de la FIFA ... et donc aussi en ce qui concerne Vladimir Poutine et ses dérives destructrices stupides. Le "sport" pour unir "les peuples" grâce à Adolf Ogi, l'ex Conseiller fédéral chef de l'armée, et son ONU genevoise dans un pays jamais franchement et définitivement accusateur en ce qui concerne les dérives par exemple footballistiques.

La Suisse doit-elle continuer à parier sur du simplet lucratif sportif international pour espérer développer "son influence dans le monde" et se profiler sur le plan économique avec "des bilatérales" ?     

La Suisse dans son jus "politique".

Des espèces de "débats" ou de "soucis" sur un passé pas si reluisant que cela ... pour pouvoir commencer "autre chose" à Berne ...!

La passivité politique suissesse et celle des gens qui continuent de s'associer à cette Suisse égoïste et partisane va-t-elle pénaliser subitement une clique ronflante mais peut-être pas si résistante, y compris à Paris ?

Une "Suisse" à la négociation, mais laquelle ? De Suisse ...?

Celle qui se compromet depuis longtemps avec ses propres lobbies et ses organisations "internationales" faussement compétentes qui se garnissent et se gavent à Lausanne ou Nyon avec la protection de la Berne fédérale et le soutien des banques de Zurich ?

Qui pour sortir de cette Suisse pour aller à Bruxelles en toute honnêteté et en toute bonne confiance ? La famille européenne pour quelles familles suissesses acceptables ?

Des espèces de réactions au sein d'une Suisse qui reste toujours sur son médiatique autosatisfait capable encore et toujours de commenter un "PIB" helvétique assez mystérieux tout de même. Une économie suissesse qui a besoin d'avoir un marché extérieur pour ses exportations et pas seulement pour des visites assez convenues et ternes à Paris-Elysée.
Nestlé qui a employé Macron Emmanuel peut-elle se présenter en Belgique pour faire progresser la Suisse ?

Une fausse assurance suissesse en ce qui concerne sa neutralité qui n'est en fait qu'une situation due à l'indigence de son administration fédérale qui a bien de la peine à décoller de Berne pour sortir de ses frontières ... avec ses propres avions.

L'Elysée tenu par Macron Emmanuel et sa clique ?
Une véritable volonté et de véritables compétences pour permettre à la France de se rendre à l'étranger en améliorant ainsi sa "balance commerciale" aussi grâce à "Air France-KLM" ?

Un grounding bientôt pour cette marque bancaire après celui de Swissair qui a donc vu disparaitre la ligne Zurich-Genève ou Genève-Zurich des mains strictement suissesses ?

Le milieu des banques et des assurances suissesses dans un tel état délétère que seules les marques françaises des "banques et assurances" peuvent espérer faire encore mieux ...!
La banque mozambicaine pour remplacer l'Arabie Saoudite au Crédit Suisse grâce au Département fédéral des "affaires étrangères" ?    

Clore ... mais quoi au juste ?

L'UBS vierge de tout et donc capable de surmonter toute une autre situation bancaire. Un bientôt ancien Crédit Suisse qui a peut-être quand même des reproches à faire à cette UBS qui a eu autrefois des effets délétères sur lui. Donc, un passé suisse avec l'UBS qui a de quoi condamner ce Crédit Suisse avalé par un ensemble bancaire qui doit pouvoir présenter la perfection. Avec tout le gratin politique helvétique autour de cela ... mais aussi dedans parfois et peut-être même souvent.

L'UBS avec quelle force aussi incontestablement honnête en terres étrangères lorsque "l'opération sera terminée" ?
La France ... avec quels liens douteux en Suisse et donc peut-être avec cette UBS ?

Les éléments présentés comme identifiables dans cette période bancaire suissesse et peut-être quand même aussi étrangère sont-ils véritablement séparés honnêtement les uns des autres ?

Le Crédit Suisse a-t-il réellement dit son dernier mot ?
Clore ou alors plutôt du chlore pour désinfecter l'UBS avant un accouplement définitif ?

"Il" dans quelle boite bancaire suissesse ?

Le contenant bancaire suisse intitulé "UBS" est il de bon aloi ?

Entreprendre une opération depuis l'UBS ... mais avec qui et quel passé dans cette "banque" ?

La boite bancaire Crédit Suisse est-elle moins rouillée et décatie que la "belle" et grosse marque bancaire "UBS" ?
Et si - enfin - le Conseil fédéral minable actuel était éjecté de tout le bancaire helvétique avant ces espèces de manoeuvres quand même douteuses ?