La Suisse de parade …

La Suisse encore active et mise sous pression par ce Conseil fédéral aculturé et accapareur olympique douteux est-elle forcément celle qui va se soumettre éternellement à une espèce de "collaboration" bâtarde entre la France "officielle" et cette coterie militaro-bancaire installée à Berne depuis trop longtemps avec l'UBS de la ... BNS ?

La méconnaissance des réalités helvétiques depuis Paris-gouvernement est-elle prouvée par cette manoeuvre qui introduit un "ministre" dans un espace qui ne sera peut-être pas toujours aussi conciliant avec la France que lors de la collaboration entre Emmanuel Macron et Nestlé ? Bruno Le Maire "l'olympien" parisien dans une situation helvétique à imaginer différente le plus rapidement possible.

Avec encore et toujours en suspens la "montre suisse FFF de Kylian Mbappé" fabriquée "sur place" et pas à Madrid.

"Lorgner" en Suisse ...!
Mais qui ... et quoi ... pour permettre aussi "l'adoption pour toutes" depuis Berne et ce laxisme franco-olympique quand même moralisateur à Paris ?

La valeur du CHF grâce à qui ? Dans le fond ?

Rétablir une compagnie nationale aérienne suisse avant de parler du franc ... et de sa valeur après le "grounding de SWISSAIR" ?

L'ONU aussi genevoise et sa Suisse surcotée qui lui permet des agissements entre amies depuis fort longtemps. Le CIO, l'UCI, la FIFA, l'UEFA et d'autres "organisations mondiales" non loin, avec - en plus et de temps en temps - une visite exclusive française avec - par exemple - Laurent Wauquiez, Tony Estanguet ou "michel".
La Suisse homo-bourgeoise d'Alain Berset et de Viola Amherd toujours soutenue de façon partisane et clientéliste par cette ONU portugaise en son secrétariat général qui n'a pas intérêt à ce que certains dessous révèlent enfin leur vraies odeurs pas si altruistes et intelligentes que cela.
La Suisse et ses avantages aussi bancaires pour tout ce tas onusien qui mérite peut-être qu'un seul office et qu'un seul siège à New York pour ses besoins.

Une espèce de soupe sans véritable frontière parfois comptable entre la Suisse et cette France parisienne nationale d'Anne Hidalgo que cette combinaison sportive déjà alliée à Los Angeles pour continuer à sentir cette odeur si particulière de l'olympisme lausannois à la mode allemande. Un regroupement franco-suisse digne d'un chocolat en poudre Nestlé à diluer dans l'eau de la Seine, pour avoir ensuite une espèce de "fraternité" transfrontalière entre des gens d'un bord qui ne mérite quand même pas d'être tiré même par derrière et à la barre d'un bateau Alinghi sponsorisé par cette UBS malhonnête du conseil fédéral de "viola" et "alain" qui aiment "athletissima".

L'homo-bourgeoisie suissesse stéréotypée et aculturée pour sélectionner ses "championnes" et "champions" françaises et français.
Des espèces de "sujets" modernes qui ne vont jamais déranger le Conseil fédéral niaiseux "aussi jurassien" de "viola" et "elisabeth" et leurs amies parisiennes toujours bien placées dans la grande sauce friquée et moche française comme Florence Parly ou Patrick Drahy par exemple. Des frontaliers français et des saisonniers français aussi en Suisse avec une autre valeur que celle garantie aussi par Paris Elysée pour toute une clique qui ne dérange pas Sergio Ermotti et "son" UBS de plus en plus inepte même avec le "renfort" de Bruno Le Maire.

La Suisse pro homo et antipopulaire planquée dans ses murs surprotégés encore et toujours bêtement "olympique", comme "pari sur l'avenir" quand même un peu risqué pour la France d'octobre 2024 même avec la docte intervention d'Anne Hidalgo.

A quand une frontière nette et sans bavure entre la Suisse honnête et cette France qui protège encore bien des situations dilatées douteuses surmédiatisées des deux côtés du Jura ou du Léman ?

La Suisse déjà dans l'UE aussi grâce à cette France admiratrice du CIO lausannois de Thomas Bach ?
La France déjà avec ses "propres" bilatérales avec la Suisse du "rafale" ?

Des objets suisses anciens et organisés depuis fort longtemps pour une population unie et homogène, mais aussi ce lobby homo-bourgeois aux commandes pour une sorte de pression continuelle sur les volumes obligatoires imposés à tout le monde grâce aux forces des services publics aussi policiers.


A quand le "génial" et "irremplaçable" Sergio Ermotti à la tête d'ASSURA pour faire aussi bien qu'à "l'UBS" ou à l'armée ?