De l'Histoire !

Athos13 a écrit:UN.- Je ne suis pas membre du FN.

si vous le dite !!!!!!!

DEUX.- Je n'ai pas vécu la "guerre d'Algérie" au sein d'une unité de l'OAS.

si vous le dite !!!!!!!!

seulement à une unité qui a soutenu le Putsch des généraux ?


TROIS.- Le fait d'avoir été absent de France depuis 1963 ne t'empêche pas d'ignorer ce qu'est la FNACA qui a été fondée en 1958 je crois par des cadres du Parti Communiste Français.

voyez vous quand j'ai été de retour en France j'ai tout fait pour oublier mon séjour en Algérie .

de plus j'ai repris ma place dans ma famille et auprès de mon père les affaires commerciales ......

et cela jusqu'en 1961-62 .

là comme beaucoup des anciens d'Algérie je me suis investie pour défendre la République Française contre les menaces des fous pro-Algérie Française ! 




QUATRE.- Tu étais "proche" d'étudiants communistes, ce qui signifie que tu n'étais peut-être pas encarté au parti mais que tu partageais les idées du PCF, ce qui pour moi signifie que tu étais anti-militariste et que tu étais, dès ton incorporation favorable à l'indépendance de l'Algérie.

là encore tu te trompes complétement !

c'est vrai que j'avais des amis étudiants proches du PC !

mais dans ma famille nous sommes pro-parti socialiste donc pas copain avec le PC !

je n'ai jamais été antimilitariste et dans ma famille personne ne l'a été .

nous avons même un Général de la guerre de 14-18 !

oui j'ai été pour l'indépendance de l'Algérie mais cela dès mon arrivée dans le constantinois vu que là j'ai compris la haine des autonomes envers nous et comme j'ai certaines connaissances historiques j'ai compris que la France n'avait aucune chance de vaincre la volonté d'un peuple d'avoir son indépendance .
  

J'ai connu des types comme toi, appelés comme moi, qui ont changé d'avis après quelques mois de crapahut en voyant ce que les fellouzes étaient capables de faire dans l'horreur de la terreur.
Ces types là avaient côtoyé les Kabyles qui demandaient notre protection et qui ne fuyaient pas l'armée française.
CINQ.- Tu avoues avoir fait tes 20 mois à l'Est de l'Algérie alors que tu nous a raconté que tu avais parcouru le pays d'Est en Ouest et du Nord au Sud...

problème de compréhension d'un texte chez vous ou trou de mémoire ?

et oui de tout temps j'ai dit que mon séjour en Algérie était au Constantinois et rien que le Constantinois 


Si dans ces 20 mois, tu n'y as vu que des exactions de l'armée française, alors là tu racontes des bobards !

encore un trou de mémoire puisque au début de mon intervention dans ce fil ouvert par vous j'ai dit que des deux cotés s'étaient conduits d'une manière honteuse !


 
SIX.- Bigeard dit la vérité pour ce qui concerne les fells que ses commandos Georges comme Cobra récupéraient. Ils leur appliquaient les mêmes méthodes que l'ALN appliquait aux civils qu'elle terrorisait ! Le Lt-Colonel Bénésis de Rotrou ne dit pas le contraire.(homme de l'OAS qui a fuit au constantinois pour échapper à la police Et, comme je l'ai dit, les "interrogatoires" se terminaient souvent autour d'une tasse de thé, une cigarette et un engagement au commando.
Parmi les Harkis de notre commando Kimono, certains étaient d'ailleurs d'anciens fells.
De là à généraliser à l'ensemble de l'armée française ces méthodes, il y a loin !

je n'ai jamais dit cela !

mais vous ne m'avez rien dit sur le lâché des fells d'un hélicoptère ?

Horiel a écrit:Ce n'est pas pour dire, Athos, mais un peu quand même, être de gauche n'est pas une tare...

Athos13 a écrit:J'ai gardé le meilleur pour la fin:

Tu es parti en Algérie -volontairement- pour je cite "savoir si l'armée française respectait les loi de Genève" !
Là, excuse moi, mais c'est se foutre de la gueule du monde !

pourquoi vouloir savoir la vérité c'est ce foutre de la gueule du monde ?


D'abord parce qu'un soldat ne va pas à la guerre en tant qu'observateur de l'ONU,

je n'étais pas volontaire à faire cette guerre inutile et qui a presque ruiné la France !

je n'étais pas observateur de l'ONU mais je le reconnais j'ai réussis à faire parvenir à qui de droit la réalité du combat de l'armée française .


d'une part et d'autre part parce que l'armée française avait contre elle un adversaire qui lui, s'en contre fichait totalement des lois de Genève qui ne concernait que les guerres dites "classiques"

ce n'était pas une raison valable pour tuer des innocents !

! L'ALN n'a jamais respecté en quoi que ce soit ces "règles" civilisées, et une armée qui aurait mise en application strictement ces mêmes lois, n'aurait pas tenu sept années face à un tel adversaires.

je connais un pays qui lui sans employer les méthodes que vous approuvez a tenu devant un adversaire bien plus fort que le FLN des dizaines d'années , malheureusement ses derniers temps son gouvernement a changé tout et ce n'est pas en bien ! 
 
J'aurais été ton supèrieur, tu aurais pris mon pied au cul avec un retour métropole par le prochain raffiot !

je ne sais pourquoi mais mes supérieurs n'ont pas pensé comme vous , peut-être qu'ils pensaient comme moi et qu'ils étaient très content de mes résultats .

M'étonne pas qu'avec des types comme toi, le contingent ait eu à déplorer autant de morts ! La plupart du temps par naïveté !

il y a eu tellement de mort du contingent uniquement pour deux raisons mal préparé en France et mal commandé en Algérie !

gallilée a écrit:

Horiel a écrit:Ce n'est pas pour dire, Athos, mais un peu quand même, être de gauche n'est pas une tare...

merci madame .

gallilée a écrit:un autre épisode, cette fois tragique qui a eu lieu à un poste au sud de Tébessa au abord du désert du Sahara du nom de Gantis (si ma mémoire est bonne pour l'orthographe )

ce poste était tenu par un bataillon de la Légion et il est inutile de vous dire qu'à la Légion un ordre est obéit aveuglément .

un soir le chef du bataillon quitte le poste et dit à l'homme de garde de ne laisser entrer que ceux qui connaissent le mot de passe et de tuer ceux qui ne le connaît pas !

après quelques kilomètre l'officier supérieur s'aperçois qu'il a oublié un papier important pour la réunion où il doit discourir .et il fait demi-tour .

arrivé à l'entrée du poste il demande à l'homme de garde de lui ouvrir la porte du poste .

le légionnaire lui demande comme il en avait reçu l'ordre par son chef le mot de passe .

.ne le sachant pas l'officier dit à son subalterne "j'ai oublié le mot de passe mais tu me connais et laisse moi passer."

le légionnaire lui répond que oui il le connaît mais les ordres sont les ordres et il tire une balle mortelle sur son supérieur .

le légionnaire ne fut pas punit vu qu'il avait obéit aux ordres !

Athos13 a écrit:C'est une "histoire" complètement absurde. Pourquoi ?
- Les postes, même les plus grands et celui-là n'échappe pas à la règle, n'étaient pas tenus par des "bataillons", mais pour les effectifs les plus nombreux, par des compagnies. (Un bataillon compte en général quatre compagnies)
- Passons ! Le Chef de Bataillon, qui est un commandant, n'aurait jamais quitté son poste, le soir, seul. Il serait parti avec une escorte, au moins dans une jeep armée.
- Comme Chef de poste, c'est lui qui est chargé de donner les mots de passe au responsable de la garde du poste. Donc le premier à connaître le mot en vigueur !
- Dans la région "au sud de Tébessa", qui est proche de la frontière tunisienne, se balader seul le soir sur les pistes même "pour aller à une réunion", était complètement impensable et d'autant plus pour un officier Légion, chef de poste de surcroit !

gallilée a écrit:

Athos13 a écrit:C'est une "histoire" complètement absurde. Pourquoi ?
- Les postes, même les plus grands et celui-là n'échappe pas à la règle, n'étaient pas tenus par des "bataillons", mais pour les effectifs les plus nombreux, par des compagnies. (Un bataillon compte en général quatre compagnies)
- Passons ! Le Chef de Bataillon, qui est un commandant, n'aurait jamais quitté son poste, le soir, seul. Il serait parti avec une escorte, au moins dans une jeep armée.
- Comme Chef de poste, c'est lui qui est chargé de donner les mots de passe au responsable de la garde du poste. Donc le premier à connaître le mot en vigueur !
- Dans la région "au sud de Tébessa", qui est proche de la frontière tunisienne, se balader seul le soir sur les pistes même "pour aller à une réunion", était complètement impensable et d'autant plus pour un officier Légion, chef de poste de surcroit !

moi je rigole en lisant votre message parce qu'il prouve que ce que vous avez vécu en Algérie se résume à pas grand chose !

premièrement il y avait trrepéois postes qui se trouvaient au sud de Tébessa à la limite du Sahara .

Gantis, Derf et un troisième dont je me souvient pas le nom .

C'était Ghentis, pas Gantis. Un "bataillon de Légion" s'il se trouvait dans la région (je n'y ai pas été) n'était pas stationné dans un "poste". En général ces "bataillon" étaient dispersés en compagnies qui étaient, elles, cantonnés dans des "postes", sur des pitons parfois repérés par leur côte altimétrique de la carte (Côte 756, côte 676...) Un "Bataillon" avait donc son PC dépendant directement de celui de son Régiment. Postes dans lesquels il n'était pas possible de loger l'effectif d'un Bataillon !

chacun devait surveillé un territoire immense et c'est pourquoi il fallait attribuer un bataillon pour accomplir la mission  de protéger le sud du Constantinois .

Oui, le "Bataillon" avait pour mission de protéger un vaste territoire. Mais pour se faire il était dispersé dans le nombreux petits postes confiés à ses compagnies !

quand au mot de passe oui vous avez raison c'est le chef qui signait le papier qui était distribué à tous ses soldats !

mais c'était d'habitude son secrétaire qui écrivait le mot de passe et son chef signait sans donner d'importance à se rappeler le mot de passe !

Pas dans la Légion ! Certainement pas ! Dans les services du Matériel ou dans l'Intendance peut-être ! Mais un "Bataillon" de Légion, ce n'est pas la cuisine du Mess de garnison !



personnellement cela m'est arrivé plus d'une fois de me "balader" seul sur  les pistes de jour ou de nuit et plus d'une fois cela m'a sauvé la vie . parfois j'avoue nous étions quelques un en Jeep .

Oui, peut-être, mais alors c'était dans les rues de Philippeville ou d'Alger ! Mais certainement pas dans le djebell et en zone interdite, comme devait l'être le secteur de Tébessa et de Ghentis !
T'a sauvé la vie ? Tu étais habillé en fellouze ? Et tu te "balladais" à quel titre ? Chez nous, jamais un trouffion ne sortait seul se "ballader" en dehors du poste où nous étions cantonnés. Jamais !

à 6 heure du matin, en culote de sport, maillot de corps , je suis seul à courir sur les quais du port de Bône ,comme d'habitude , sans armes et sans escorte, je songe à notre prochaine mission et à ma petite famille .

trois Arabes m'attendaient , me laissent  les dépasser et me tirent dans le dos à bout portant; j'ai très mal, je m'effondre et me relève aussitôt en prenant dans ma main gauche mon bras droit éclaté,couvert de sang. je retourne et fonce tête baissée sur les trois fells avec leurs pistolet à la main ; ils n'en reviennent pas et, affolé s'enfuient devant moi !

C'était Bigeard ! Il était colonel et il le faisait sur les quais du port de Bône ! J'ai aussi échappé à un enlèvement par le FLN dans ma rue à Alger... Après le 19 mars !

moi grâce à votre message Athos je m'aperçois que vous avez  peu de connaissance du comportement des officiers supérieurs des corps d'élites de l'armée française , tous anciens d'Indochine !

Un Chef de Bataillon n'est pas un officier supèrieur et tu devrais le savoir. Un petit sous-off de la Légion, corps d'élite de l'armée française, t'aurait botté le cul en entendant tes bêtises !
 
c'est normal vous n'étiez qu'un petit sous-off!

Un petit sous-off, c'est vrai. Mais un sous-off chef de groupe dans un commando de chasse, grenouillant la nuit dans des coins pourris du djebell, parfois trois à quatre nuits de suite, tendant des embuscades aux dernières bandes rebelles qui subsistaient encore en 59/60, piégeant les itinéraires, renseignant mon PC sur leur position... Petit sous-off quoi !

Gallilée

Athos13 a écrit:

gallilée a écrit:
moi je rigole en lisant votre message parce qu'il prouve que ce que vous avez vécu en Algérie se résume à pas grand chose !

premièrement il y avait trrepéois postes qui se trouvaient au sud de Tébessa à la limite du Sahara .

Gantis, Derf et un troisième dont je me souvient pas le nom .

C'était Ghentis, pas Gantis. Un "bataillon de Légion" s'il se trouvait dans la région (je n'y ai pas été)

Moi si et pas qu'une fois !

n'était pas stationné dans un "poste". En général ces "bataillon" étaient dispersés en compagnies qui étaient, elles, cantonnés dans des "postes", sur des pitons parfois repérés par leur côte altimétrique de la carte (Côte 756, côte 676...) Un "Bataillon" avait donc son PC dépendant directement de celui de son Régiment. Postes dans lesquels il n'était pas possible de loger l'effectif d'un Bataillon !

si c'est vous qui le dite !!!!!

malheureusement la vérité est différente à ce que vous nous racontez .

vous avez connu la guerre d'Algérie en 1959 tandis que moi en 1956-57 .

beaucoup de choses furent changées dans la stratégies de l'armée française et la manière de se comporter !



chacun devait surveillé un territoire immense et c'est pourquoi il fallait attribuer un bataillon pour accomplir la mission  de protéger le sud du Constantinois .

Oui, le "Bataillon" avait pour mission de protéger un vaste territoire. Mais pour se faire il était dispersé dans le nombreux petits postes confiés à ses compagnies !

en 1959 peut-être , pas en 1956 !

quand au mot de passe oui vous avez raison c'est le chef qui signait le papier qui était distribué à tous ses soldats !

mais c'était d'habitude son secrétaire qui écrivait le mot de passe et son chef signait sans donner d'importance à se rappeler le mot de passe !

Pas dans la Légion ! Certainement pas ! Dans les services du Matériel ou dans l'Intendance peut-être ! Mais un "Bataillon" de Légion, ce n'est pas la cuisine du Mess de garnison !

alors là laissez moi rigoler !

petite histoire drôle qui a eu pour théâtre un des postes tenus par la Légion  Ghentis !

chaque fois que suite à un renseignement indiquant la présence ou l'arrivée d'un groupe de fells on montait une opération contre ces fells .

mais chaque fois les fells avaient disparu !

un jour suite à un interrogatoire brutal un prisonnier fell raconta pourquoi les fells étaient renseignés de la venue des légionnaires !

le chef des fells de la région était le bossu qui servait les officiers au mess du bataillon !il semblait tellement inoffensif que les officiers parlaient devant lui sans crainte !

amusant non ?

Gallilée 




personnellement cela m'est arrivé plus d'une fois de me "balader" seul sur  les pistes de jour ou de nuit et plus d'une fois cela m'a sauvé la vie . parfois j'avoue nous étions quelques un en Jeep .

Oui, peut-être, mais alors c'était dans les rues de Philippeville ou d'Alger ! Mais certainement pas dans le djebell et en zone interdite, comme devait l'être le secteur de Tébessa et de Ghentis !
T'a sauvé la vie ? Tu étais habillé en fellouze ? Et tu te "balladais" à quel titre ? Chez nous, jamais un trouffion ne sortait seul se "ballader" en dehors du poste où nous étions cantonnés. Jamais !

disons que j'étais un trouffion qui avait des droits que vous n'aviez pas !

droits qui me furent donnés par ......!

ne soyez pas jaloux ce ne fut pas sans danger !

à 6 heure du matin, en culote de sport, maillot de corps , je suis seul à courir sur les quais du port de Bône ,comme d'habitude , sans armes et sans escorte, je songe à notre prochaine mission et à ma petite famille .

trois Arabes m'attendaient , me laissent  les dépasser et me tirent dans le dos à bout portant; j'ai très mal, je m'effondre et me relève aussitôt en prenant dans ma main gauche mon bras droit éclaté,couvert de sang. je retourne et fonce tête baissée sur les trois fells avec leurs pistolet à la main ; ils n'en reviennent pas et, affolé s'enfuient devant moi !

C'était Bigeard ! Il était colonel et il le faisait sur les quais du port de Bône ! J'ai aussi échappé à un enlèvement par le FLN dans ma rue à Alger... Après le 19 mars !

j'en tremble !

et oui je n'aurais pas eu la joie de m'amuser avec vous seigneur Athos !

moi grâce à votre message Athos je m'aperçois que vous avez  peu de connaissance du comportement des officiers supérieurs des corps d'élites de l'armée française , tous anciens d'Indochine !

Un Chef de Bataillon n'est pas un officier supèrieur et tu devrais le savoir. Un petit sous-off de la Légion, corps d'élite de l'armée française, t'aurait botté le cul en entendant tes bêtises !

pardon j'ai écrit "des officiers supérieurs des corps d'élites de l'armée française , tous anciens d'Indochine !"et pas des chefs de bataillons 
 
c'est normal vous n'étiez qu'un petit sous-off!

Un petit sous-off, c'est vrai. Mais un sous-off chef de groupe dans un commando de chasse, grenouillant la nuit dans des coins pourris du djebell, parfois trois à quatre nuits de suite, tendant des embuscades aux dernières bandes rebelles qui subsistaient encore en 59/60, piégeant les itinéraires, renseignant mon PC sur leur position... Petit sous-off quoi !

ah! que de souvenirs glorieux vous nous décrivez!

et tout cela pour rien !

et oui le peuple français a voté au référendum pour ml'indépendance de l'Algérie et vous le fameux baroudeur cela fut difficile à accepter !


Gallilée






Gallilée

Athos13 a écrit:Des "droits" que ne pouvait avoir un trouffion d'aller se "ballader" seul, en dehors d'un poste, à n'importe quelle période de cette guerre. Même pour en griller une en écoutant le jappement des chacals sur la piste

disons que j'étais un trouffion qui avait des droits que vous n'aviez pas !

droits qui me furent donnés par ......!

ne soyez pas jaloux ce ne fut pas sans danger !


Des "droits" que ne pouvait avoir un trouffion d'aller se "ballader" seul, en dehors d'un poste, à n'importe quelle période de cette guerre. Même pour en griller une en écoutant le jappement des chacals sur la piste !

pardonnez moi de vous rappeler que je ne ment jamais !

il faudra que cela vous rentre dans votre cabasse de couillonné de pied noir !

des droits j'en avais parce que je n'étais pas un trouffion ordinaire .

je n'ai jamais été enfermé dans un poste , je n'avais pas de supérieur militaire sauf ceux qui me servaient de paravent ! mais n'avaient aucun pouvoir sur moi !

disons que je jouais le même jeux que celui de certain commando israélien  !


Cette guerre d'Algérie ? Mais tu l'as lue dans PIM PAM POUM, l'illustré bien connu des gamins de l'époque... Et en 56 ou en 57, alors que les katibas étaient encore bien présentes dans une région comme celle de Kenchela ou Tébessa, que le "barrage" algéro-tunisien n'existait pas encore, les trouffions de ton espèce serraient leurs fesses dans leurs cagnats en pensant à "La Quille". 

je ne sais de quelle espèce vous pensez mais je n'ai serre mes fesses que quand j'ai la chiasse !

pour information maintenant je suis israélien et croyez moi je n'ai pas la réputation d'être un trouillard comme vous le souhaitez !

le  "barrage" algéro-tunisien" n'existait pas ce qui nous permettait de botter les fesses des fells dans leur camps d'entrainement !

quand à Kenchela cela me rappelle une histoire rigolote :

une compagnie du GT 512 avait sa base à coté d'une ferme et d'un moulin à vent !

et comme vous l'avez dit justement cette région était sous l'emprise des fells .

beaucoup de fermes furent détruites et les colons et leurs employés trucidés !

mais la ferme et le moulin à vent était un asile de tranquillité !

le pot aux roses fut découvert quand un fells torturé a avoué que les fells avaient reçu l'ordre de protéger le moulin et la ferme attenante et cela parce que le colon payait chaque mois une grosse somme pour obtenir sa sécurité !






Et encore une fois, je vois très mal, un Chef de poste de la Légion quitter son poste de nuit, seul, en "oubliant" le mot de passe qu'il avait donné lui-même à ses officiers adjoints et donc aux sentinelles. Ceci est faux ! C'est une histoire que tu as du sortir d'un torchon communiste, comme il en existait alors !

il faudra pauvre petit que vous  vous fassiez une raison parce que je ne ment jamais !

Gallilée

Athos13 a écrit: Qu'est-ce que c'est que cette histoire à dormir debout ! Tu es Israëlien ? Et tu as fait ton service -individuellement- sans personne pour te commander en 56 en Algérie ?
Mais alors là on est en plein cinéma ! Tu devrais filmer çà et aller au festival de Cannes ! Tu aurais certainement un prix de la meilleure fiction !
Tu ne ment jamais ? Tu parles, raison de plus pour ne pas croire tes fantasmes ! Je disais PIM PAM POUM ! Mais c'est l'Almanach Vermot !

Athos13 a écrit:Autrement dit, tu étais une taupe du PCF en mission auprès de tes amis du FLN que tu renseignais incognito... Maintenant je comprends... C'était çà ta mission. N'empêche que ton histoire ne tient pas debout et qu'elle n'est pas l'Histoire de l'armée française en Algérie.
Des types comme toi, heureusement, y'en avait pas beaucoup !

Athos13 a écrit:Les Gaulois, oui, ils finissent toujours par s'entendre... Mais un Israëlien n'est pas un Gaulois, et c'est encore pire lorsque c'est un Israëlien coco !

Athos13 a écrit:Tout çà c'est du baratin ! Tu as avoué toi même que tu avais des "amis" communistes et que si tu étais venu en Algérie en 1956, c'était pour savoir si l'armée française appliquait les Conventions de Genève !

mais ce n'était pas mes amis communistes qui m'avaient demandé de voir ce que faisait l'armée française en Algérie .

il ne faut pas que vous oubliez que les nouvelles venant d'Algérie était alarmante vu que les excès commis par les paras n'étaient pas un secret pour personne.

la presse grâce aux reporters sur place nous en informé !

et cela jusqu'à ce que la décision fut prise de parquer les journalistes dans les hotels d'Alger avec interdiction de suivre de près les opérations militaires .

d'ailleurs la gendarmerie fut elle aussi éloignée du théatre des opérations !

ce qui permit tous les excès !commis ! 


Donc tes "hauts gradés" français devaient être les dirigeants (peut-être camouflés) du PCF !


non !


Et si je suis "obsédé" par les communistes comme tu dis, c'est que pendant la guerre d'Algérie, le parti communistes français était l'allié et le complice du FLN à qui il fournissait armes, explosifs et renseignements.

c'était les russes et leurs alliés européens !

le PCF au mieux n'était qu'un simple intermédiaire !

IL avait même créé une organisation clandestine à l'intérieur du contingent métropolitain, l'OCC (L'organisation Clandestine du Contingent). Dans le régiment dont je dépendais, nous avions mis la main sur une de ces crapules qui fut renvoyée dans les plus brefs délais à Lyon...

la oui vous avez raison ,

mais savez vous quelle fut l'action qui a fait échouer le PUTSCH des Généraux ?

et quel fut le rôle d'un jeune officier de l'OCC dans cela ?

et grace à cet officier la République Française démocratique fut sauvée !!

et oui par un officier communiste !

à l'occasion je vous l'expliquerai puisque je me suis aperçu que vos connaissance historiques de la tragédie algérienne sont incomplètes !


reste en Israël, tu peux toujours servir encore de taupe au Hezbollah...

pauvre mec !

Gallilée:balai:

Athos13 a écrit:Les Gaulois, oui, ils finissent toujours par s'entendre... Mais un Israëlien n'est pas un Gaulois, et c'est encore pire lorsque c'est un Israëlien coco !

Gallilée