La Chine pour une grande valeur ...

Le poids de la Chine dans le monde grâce à la "politique" d'abord nationale de Xi Jinping.

Une sorte de "modèle chinois" vantée par le passé, mais avec des qualités avérées encore obscures.

Bien sûr "l'ukraine" ou "gaza" pour se profiler grâce à d'autres sur une scène internationale qui n'est quand même pas forcément d'une même nature que cette population chinoise soumise encore et toujours aux dérives incompréhensibles de Xi Jinping. Faire croire à une importance et à un poids "international" depuis Pékin-présidence pour museler un peuple largement sous-informé mais quand même difficilement manipulable sur la fin.

La "guerre sociale" qui couve en Chine grâce à Xi Jinping et à son clientélisme partisan pourra-t-elle être stoppée par la France ?

La concentration de grosses sommes d'argent en Chine sous le "contrôle" de Xi Jinping permet-elle d'imaginer un futur de la même veine ?

"Négocier", ou maintenir absolument un système décati et douteux en Chine à partir de Pékin ?

La pression citoyenne soi-disant séditieuse en Chine provoque-t-elle cette espèce de crispation quasi bornée tout en haut de la présidence ? Pas une grande marge de manoeuvre chez les séditieuses et séditieux chinois et donc pas une grande marge de manoeuvre non plus chez les accapareurs présidentiels pékinois.
Y a-t-il des partenaires plus favorables que l'UE pour le clientélisme présidentiel chinois de Xi Jinping ?

Les "faillites" en Chine, mais pas encore celle de Xi Jinping et de son lobby clientéliste pékinois anti séditieux estudiantin vestimentaire.

Donc, encore et toujours de nouvelles difficultés économiques et sociales chinoises, avec uniquement le "président" pour comprendre et gérer "le tout". Qui pour permettre encore une fois à Xi Jinping de faire illusion dans son propre pays en lui permettant d'afficher un nouveau machin "luxe" plus ou moins occidental pouvant faire rêver la Turquie de Recep Erdogan collée au modèle chinois décisif pour LVMH grâce à Bernard Arnault et à sa famille aussi olympique ?

Xi Jinping et son monopole pour une collaboration future de quel type avec cette Chine qui prend une place médiatique et politique peut-être pénible pour d'autres pays aussi intéressants pour la France ? Passer par dessus la Chine de Xi Jinping pour aller où depuis la France ?

L'économie et donc Xi Jinping et son "parti" essentiellement pékinois bien que "communiste" encore semble-t-il. Une espèce de surpuissance "économique" mondiale chinoise mise en avant par tout un lot de "spécialistes" journalistiques et autres qui doivent donc enfin reconnaitre leurs erreurs. Néanmoins l'avenir de toute la population chinoise enfermée dans des frontières qui permettent encore et toujours au "luxe" aussi français d'aligner des "chiffres" permettant des affichages médiatiques de plus en plus ineptes mais cotés tout de même à Paris-bourse par exemple. Des "voitures électriques" pour faire passer la pilule ou autre chose ...! Des espèces de transferts de fonds plus ou moins savants entre Xi Jinping himself et des "banques" chinoises pour pouvoir encore parler de "l'immobilier" ou des "exportations" en direction de l'Allemagne grâce à "l'engagement personnel du chancelier" pro-chinois par exemple à Hambourg ou Munich. L'impossibilité éternelle du bide économique et financier chinois.

Admettre aussi l'insuffisance de l'espace public en Chine avant de prétendre à une amélioration de cette économie post-olympique si rapidement prête à censurer et à détruire l'initiative réellement privée ?

Qui de mieux pour remplacer immédiatement Xi Jinping sur la photo en prouvant ainsi ses "compétences" pour l'économie et la richesse future ?
Joe Biden ou Kamala Harris grâce à leurs "plans" pour les "usa" ? Vladimir Poutine et son gaz personnel ? Lula ou Modi ? Le RN ex-FN, une politique moderne occidentale pour aider Xi Jinping depuis la France nationale ?

Investir dans quelle Chine ? Ou simplement rendre visite à quelle Chine depuis la France pour espérer un avenir palpable ?

Puis donc demain sur un modèle un peu américain, avec des "plans" et des machins surdimensionnés parfois "électriques" qui commencent à sombrer ou à casser de partout. Xi Jinping avec sa compréhension exclusive de la "modernité occidentale" permettant des "exportations chinoises" vers ailleurs ... mais avec un investissement utile et prioritaire en direction de sa Chine quasi nul. Beau fixe en Chine pour LVMH et le CIO de Los Angeles.

Xi Jinping "à la russe" pour poursuivre l'occupation d'une présidence clientéliste pékinoise d'inspiration poutinienne. Donc, une sorte de menace ennemie taiwanaise pour faire croire à cette "puissance" chinoise partant d'abord et donc exclusivement de "l'intelligence" du "grand timonier" richement garni de façon "olympique" Xi Jinping. Taiwan non loin, avec l'Ukraine plus loin pour jouer une espèce de "rôle international" avec une connaissance du monde aussi occidental et donc français un peu mincelette. Puis donc cette Chine du futur plutôt immédiat chez elle et dans ses "propres" frontières qui ne permettent pas un développement satisfaisant ailleurs que dans cette grande bourgeoisie présidentielle inepte pékinoise. Bien des soucis pour les Chinois qui gravitent autour de Xi Jinping sans être corrompus par ses largesses, de façon à maintenir une "qualité" et une "réputation" nationale chinoise méritant encore une fête populaire pour une "république" qui a une autre allure en UE.

Xi Jinping comme président sans véritable lien avec autre chose qu'une prétention personnelle de plus en plus mise sous pression par des besoins chinois que Taiwan peut peut-être satisfaire. Le développement de Taiwan et donc "la guerre" ou un machin inepte présidentiel chinois. Le développement de l'Ukraine et donc la "guerre spéciale" ou des mesures présidentielles poutiniennes ineptes moscovites. Avoir un niveau pour une véritable confrontation avec une puissance peu comprise par "xi" et "vladimir" entre autres.

La Russie poutinienne avec une "opération spéciale" guerrière en Ukraine et donc la Chine de Xi Jinping avec des "obligations spéciales" au sein de ces BRICS qui rejettent le dollar. Des "obligations spéciales" à acheter éventuellement depuis l'extérieur chinois pour relancer Pékin, mais sans le dollar maléfique à expurger semble-t-il.

Prêter "à la Chine", investir de l'argent "en Chine" ou en fait surtout dans la bulle présidentielle dilatée douteuse contrôlée de façon clientéliste par Xi Jinping ? LVMH et la science du luxe international de Bernard Arnault pour mettre de l'argent "en Chine" avec ces "obligations spéciales" au nom de la France et donc de la bourse parisienne ?

Le gros nourrain à fente chinois comme tirelire pour quels investisseurs "spécialisés" en forme olympique même depuis la France ?