La Chine pour une grande valeur ...

Se retrouver seul(e) en Chine présidentielle de Xi Jinping tout comme de plus en plus seule à Moscou dans la Russie belliqueuse poutinienne. Néanmoins la joie de vivre en tentant de consommer "comme un dragon  " même en étant une fille.

Xi Jinping en dehors de cette journée qui permet une espèce de déconnexion momentanée de ce pouvoir autoritaire pékinois qui essaie continuellement d'accaparer à son seul profit "la consommation" nationale. Consommer depuis cette population célibataire presque subversive en ce 11.11; et garder l'exclusivité de la consommation haut de gamme à partir de Xi Jinping.

La Journée des Célibataires bientôt comme premier parti politique antiprésidentiel chinois ?

Les "promesses" de Xi Jinping à tenir d'abord dans son propre pays en proie à bien des doutes pour ce qui est de sa qualité première permettant ensuite une éventuelle crédibilité sur la scène internationale aussi française. Se lier à des espèces de références plus ou moins nouvelles avec une honnêteté personnelle présidentielle pékinoise olympique contagieuse et révélatrice de la bonne santé nationale chinoise. Taiwan néanmoins pour l'Occident et donc la France.

Le volume sino-américain-péruvien-BRICS&friends capable de douceur dans la transition mais moins dans la liberté d'expression, peut-il parler de "développement" avec cette espèce de supériorité anti-Cognac-automobilo-électrique-solaire-éolienne éclairée censée faire mieux que l'UE ?
Qui pour se précipiter dans les bras présidentiels de cette Chine pour "renforcer" l'avenir du monde qui ne doit pas passer par Taiwan selon Pékin ? L'administration Trump comme groupe d'une qualité encore à la portée de cette Chine si proche de quoi d'abord chez elle ?

Le "cognac" défendu par la France avec sa qualité terminale "là où on le met en bouteilles" sans perte de goût durant le voyage permettant une éventuelle dilution du premier volume national vendu plus tard et ailleurs.

Acheter du cognac LVMH français ailleurs qu'en France même avec des dollars pour soutenir la politique présidentielle pékinoise de Xi Jinping et le CIO de Thomas Bach.