Recueil de belles histoires
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Le papillon
Le papillon
Un homme a trouvé un jour un cocon de chenille et a décidé de l’apporter chez lui. Quelques jours plus tard, une petite ouverture est apparue. L’homme s’est assis et a observé pendant plusieurs heures le papillon se débattre de toutes ses forces afin de sortir de son cocon.
Au bout d’un certain temps, le papillon ne bougeait presque plus. Comme s’il avait donné son maximum et qu’il n’avait plus rien à faire. L’homme a décidé alors d’aider le papillon. Il a pris une paire de ciseaux et a coupé le reste du cocon.
Le papillon est sorti alors facilement de son cocon, mais le corps du papillon était enflé et petit, et ses ailes étaient toutes ratatinées. L’homme continuait alors d’observer le papillon et s’attendait à ce qu’il ouvre tout grand ses ailes et commence à voler, amis rien de cela ne se passait. En fait, le papillon a passé le reste de sa vie à ramper avec son corps enflé et ses ailes déformées. Il n’a jamais été capable de voler.
Ce que l’homme avec sa gentillesse et son empressement n’avait pas compris, c’est que la lutte que le papillon devait effectuer pour sortir de son cocon était essentielle à son développement. En luttant ainsi de toutes ses forces, les fluides de son corps se seraient répartis dans ses ailes et, compte tenu du temps qu’il lui fallait pour crever son cocon par lui-même et déployer ses ailes, le papillon aurait été alors en mesure de voler et de se libérer une fois pour toutes de son cocon.
Par analogie avec notre existence, les obstacles que la vie met sur notre chemin son exactement ce dont nous avons besoin pour grandir. La lutte qu’on éprouve sur le chemin de la réussite personnelle fait partie intégrante du prix qu’on doit payer pour réaliser notre plein potentiel. Si nous devions passer au travers de la vie sans obstacles, nous serions certainement tout rabougris, comme le papillon de notre histoire. Nous ne serions pas aussi forts que nous pourrions l’être et nous ne pourrions jamais voler, nous non plus, vers l’accomplissement de nos rêves.
« Seul l’épreuve du feu produit l’acier le plus résistant. »
Patrick Leroux
Un homme a trouvé un jour un cocon de chenille et a décidé de l’apporter chez lui. Quelques jours plus tard, une petite ouverture est apparue. L’homme s’est assis et a observé pendant plusieurs heures le papillon se débattre de toutes ses forces afin de sortir de son cocon.
Au bout d’un certain temps, le papillon ne bougeait presque plus. Comme s’il avait donné son maximum et qu’il n’avait plus rien à faire. L’homme a décidé alors d’aider le papillon. Il a pris une paire de ciseaux et a coupé le reste du cocon.
Le papillon est sorti alors facilement de son cocon, mais le corps du papillon était enflé et petit, et ses ailes étaient toutes ratatinées. L’homme continuait alors d’observer le papillon et s’attendait à ce qu’il ouvre tout grand ses ailes et commence à voler, amis rien de cela ne se passait. En fait, le papillon a passé le reste de sa vie à ramper avec son corps enflé et ses ailes déformées. Il n’a jamais été capable de voler.
Ce que l’homme avec sa gentillesse et son empressement n’avait pas compris, c’est que la lutte que le papillon devait effectuer pour sortir de son cocon était essentielle à son développement. En luttant ainsi de toutes ses forces, les fluides de son corps se seraient répartis dans ses ailes et, compte tenu du temps qu’il lui fallait pour crever son cocon par lui-même et déployer ses ailes, le papillon aurait été alors en mesure de voler et de se libérer une fois pour toutes de son cocon.
Par analogie avec notre existence, les obstacles que la vie met sur notre chemin son exactement ce dont nous avons besoin pour grandir. La lutte qu’on éprouve sur le chemin de la réussite personnelle fait partie intégrante du prix qu’on doit payer pour réaliser notre plein potentiel. Si nous devions passer au travers de la vie sans obstacles, nous serions certainement tout rabougris, comme le papillon de notre histoire. Nous ne serions pas aussi forts que nous pourrions l’être et nous ne pourrions jamais voler, nous non plus, vers l’accomplissement de nos rêves.
« Seul l’épreuve du feu produit l’acier le plus résistant. »
Patrick Leroux
Invité- Invité
Le petit garçon et l’écho dans la vallée
Le petit garçon et l’écho dans la vallée
Il existe une loi universelle qui dit que, dans la vie, on récolte ce qu’on sème. On appelle aussi cela la loi de cause à effet, la loi d’action réaction ou encore l’effet boomerang, c’est-à-dire que tout ce qu’on lance, nous revient.
Un petit garçon habitait dans une vallée avec sa mère. Un jour, le petit garçon était furieux après sa mère. Elle venait de le chicaner parce qu’il avait été malfaisant. Le petit garçon est sorti alors sur le balcon de la maison et a commencé à crier : « Je te déteste, je te déteste, je te déteste. » Et l’écho de répondre :: « Je te déteste, je te déteste, je te déteste. »
Effrayé, le petit garçon est vite rentré dans la maison et il est venu retrouver sa mère : « Maman, maman, il y a un petit garçon dans la vallée qui ne m’aime pas. Il dit qu’il me déteste ! » Et la mère de répondre à son fils avec un léger sourire en coin : « Ne t’inquiète pas, mon garçon, car il y a aussi un autre gentil petit garçon dans la vallée qui, lui, t’aime beaucoup. Va dehors sur la galerie et dis-lui toi aussi que tu l’aimes. »
Et le petit garçon de retourner à l’extérieur et de crier au petit garçon imaginaire : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. » Et de l’écho de répondre : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. »
Dans la vie, on récolte toujours ce que l’on sème. Si vous lancez des messages de haine, c’est également la haine que vous récolterez en retour. Par contre, si vous lancez des messages d’amour, c’est aussi de l’amour que vous recevrez en retour. Le bonheur que les gens vous prodiguent est votre responsabilité. Dites du bien des autres et ils diront du bien de vous.
Patrick Leroux
Il existe une loi universelle qui dit que, dans la vie, on récolte ce qu’on sème. On appelle aussi cela la loi de cause à effet, la loi d’action réaction ou encore l’effet boomerang, c’est-à-dire que tout ce qu’on lance, nous revient.
Un petit garçon habitait dans une vallée avec sa mère. Un jour, le petit garçon était furieux après sa mère. Elle venait de le chicaner parce qu’il avait été malfaisant. Le petit garçon est sorti alors sur le balcon de la maison et a commencé à crier : « Je te déteste, je te déteste, je te déteste. » Et l’écho de répondre :: « Je te déteste, je te déteste, je te déteste. »
Effrayé, le petit garçon est vite rentré dans la maison et il est venu retrouver sa mère : « Maman, maman, il y a un petit garçon dans la vallée qui ne m’aime pas. Il dit qu’il me déteste ! » Et la mère de répondre à son fils avec un léger sourire en coin : « Ne t’inquiète pas, mon garçon, car il y a aussi un autre gentil petit garçon dans la vallée qui, lui, t’aime beaucoup. Va dehors sur la galerie et dis-lui toi aussi que tu l’aimes. »
Et le petit garçon de retourner à l’extérieur et de crier au petit garçon imaginaire : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. » Et de l’écho de répondre : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. »
Dans la vie, on récolte toujours ce que l’on sème. Si vous lancez des messages de haine, c’est également la haine que vous récolterez en retour. Par contre, si vous lancez des messages d’amour, c’est aussi de l’amour que vous recevrez en retour. Le bonheur que les gens vous prodiguent est votre responsabilité. Dites du bien des autres et ils diront du bien de vous.
Patrick Leroux
Invité- Invité
Les biscuits
Les biscuits
Un jour, une dame qui attendait son vol dans un aérogare, alla dans une boutique pour trouver un bon livre, acheta en même temps un sac de biscuits, puis s'assit pour lire. Bien qu'absorbée dans sa lecture, elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle, effronté s'il en fut, prenait un ou deux biscuits dans le sac posé entre eux. Elle fit mine de ne rien voir pour éviter un esclandre fâcheux en public. Elle lisait, mangeait des biscuits et surveillait le départ des avions, tandis que le "voleur de biscuits" se goinfrait à même ses provisions. De plus en plus agacée à mesure que le temps passait, elle songeait : "Si je n'étais pas si aimable, je le giflerais."
Chaque fois qu'elle prenait un biscuit, l'homme sans gêne se servait. Lorsqu'il n'en resta qu'un seul, elle se demanda comment il réagirait. L'air content, il eut un petit rire nerveux, puis il prit le dernier biscuit, le cassa en deux, lui offrit une moitié et mangea sa part. Lui arrachant des mains, elle se dit : "Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci !"
Elle ne se rappelait pas avoir été aussi exaspérée. Aussi soupira-t-elle d'aise, lorsque son vol fut annoncé. Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de biscuits.
Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé. En fouillant dans son sac, elle fut estomaquée, ses biscuits étaient là, sous ses yeux étonnés. "Si mes biscuits sont ici, pensa-t-elle, désespérée, alors les autres étaient les siens, que je lui ai volé moi-même et qu'il a bien voulu partager !"
Trop tard pour s'excuser, elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie, l'ingrate, la voleuse !
Miroir, miroir, mon beau miroir !... combien de fois accusons-nous les autres alors que nous ne remarquons pas ce que nous faisons nous-mêmes...
Anonyme
Invité- Invité
Les 15 Clefs de l' Amitié !
Les 15 Clefs de l' Amitié !
1. Faire le premier pas :
Après tout, qu'est-ce que l'on risque ?
Un coup de fil, une invitation à déjeuner, une proposition de sortie sont peut-être le début d'une nouvelle amitié.
2. Doser ses exigences :
On ne peut attendre de l'autre qu'il nous apporte tout ce dont nous avons besoin.
Avec chacun, nous partageons des choses différentes.
Des amis pour la conversation, pour l'art, les expositions, les courses.
Des amis à qui on confie des épisodes de sa vie et qui vibrent pour avoir connus les mêmes.
Ceux avec qui on peut parler divorce ou de la mort des parents".
3. Ne pas être dépendant :
Il ou elle n'est pas disponible ?
Ce n'est pas si grave.
Nous pouvons aller seul en balade ou inviter la voisine qui, justement, en meurt d'envie.
4. Ne rien demander en échange :
L'amitié rime mal avec comptabilité.
Ce qui fait tout son prix, c'est précisément sa gratuité :
"Je te donne parce que je t'aime."
Ce qui ne veut pas dire qu'il faut en faire trop.
Chacun a droit à son jardin secret.
5. Savoir écouter :
Combien d'occasions ratées pour n'avoir pas su écouter au bon moment ?
Les amis sont d'abord ceux qui savent se taire et être disponibles quand on en a besoin.
6. Respecter le secret :
Une confidence, un détail de la vie privée ... l'autre nous a fait confiance.
Savoir garder le silence est la preuve que cette confiance est méritée.
7. Être souple :
Une invitation qui tombe à l'heure du rendez-vous chez le coiffeur,
une sortie au moment d'un bon film ... pourquoi refuser ?
On peut toujours s'arranger.
À trop vouloir imposer ses propres désirs, on finit par décourager l'ami.
8. Être là en cas de coup dur :
C'est la première chose que nous attendons de nos amis.
Chacun trouve, selon son caractère, la façon d'être présent et de montrer son affection.
9. Prendre les gens comme ils sont :
Nous avons tous nos défauts ; c'est aussi ce qui fait notre charme.
Inutile de demander aux autres de changer...
Les choses sont tellement plus simples quand on peut rester soi-même sans crainte d'être critiqué.
10. Accepter les différences :
C'est ce qui fait tout l'intérêt d'une relation.
On n'est pas d'accord sur tout, et alors ?
L'autre a peut-être une façon de voir les choses ou de penser la vie qui peut enrichir notre propre jugement.
11. Ne pas juger :
L'autre a fait une erreur ou s'est comporté d'une façon qui nous déplaît ?
Inutile de le critiquer. Il vaut mieux essayer de comprendre.
Ce qui n'empêche pas la franchise : "voilà ce que je pense, mais tu fais ce que tu veux".
12. Se donner du temps :
A force de multiplier les sorties et les activités, on risque de perdre de vue l'essentiel.
Parfois, il peut être plus agréable d'en faire un peu moins
et d'organiser de vraies occasions de partage avec les gens que l'on aime.
13. Créer des moments conviviaux :
Les repas entre amis, les sorties, les promenades,
toutes les occasions sont bonnes pour vivre des situations chaleureuses et complices.
14. Partager ce que l'on aime :
Un livre, un disque, un film, une balade à pied, la visite d'un musée.
l'amitié a besoin de ces "carburants" pour vivre et se développer.
C'est aussi en faisant ensemble que l'on apprend à s'apprécier mutuellement.
15. Faire signe :
Un petit bonjour, une carte postale, un cadeau sont autant de façons de dire :
"Je pense à toi". Avec de petites attentions, on entretient l'amitié.
1. Faire le premier pas :
Après tout, qu'est-ce que l'on risque ?
Un coup de fil, une invitation à déjeuner, une proposition de sortie sont peut-être le début d'une nouvelle amitié.
2. Doser ses exigences :
On ne peut attendre de l'autre qu'il nous apporte tout ce dont nous avons besoin.
Avec chacun, nous partageons des choses différentes.
Des amis pour la conversation, pour l'art, les expositions, les courses.
Des amis à qui on confie des épisodes de sa vie et qui vibrent pour avoir connus les mêmes.
Ceux avec qui on peut parler divorce ou de la mort des parents".
3. Ne pas être dépendant :
Il ou elle n'est pas disponible ?
Ce n'est pas si grave.
Nous pouvons aller seul en balade ou inviter la voisine qui, justement, en meurt d'envie.
4. Ne rien demander en échange :
L'amitié rime mal avec comptabilité.
Ce qui fait tout son prix, c'est précisément sa gratuité :
"Je te donne parce que je t'aime."
Ce qui ne veut pas dire qu'il faut en faire trop.
Chacun a droit à son jardin secret.
5. Savoir écouter :
Combien d'occasions ratées pour n'avoir pas su écouter au bon moment ?
Les amis sont d'abord ceux qui savent se taire et être disponibles quand on en a besoin.
6. Respecter le secret :
Une confidence, un détail de la vie privée ... l'autre nous a fait confiance.
Savoir garder le silence est la preuve que cette confiance est méritée.
7. Être souple :
Une invitation qui tombe à l'heure du rendez-vous chez le coiffeur,
une sortie au moment d'un bon film ... pourquoi refuser ?
On peut toujours s'arranger.
À trop vouloir imposer ses propres désirs, on finit par décourager l'ami.
8. Être là en cas de coup dur :
C'est la première chose que nous attendons de nos amis.
Chacun trouve, selon son caractère, la façon d'être présent et de montrer son affection.
9. Prendre les gens comme ils sont :
Nous avons tous nos défauts ; c'est aussi ce qui fait notre charme.
Inutile de demander aux autres de changer...
Les choses sont tellement plus simples quand on peut rester soi-même sans crainte d'être critiqué.
10. Accepter les différences :
C'est ce qui fait tout l'intérêt d'une relation.
On n'est pas d'accord sur tout, et alors ?
L'autre a peut-être une façon de voir les choses ou de penser la vie qui peut enrichir notre propre jugement.
11. Ne pas juger :
L'autre a fait une erreur ou s'est comporté d'une façon qui nous déplaît ?
Inutile de le critiquer. Il vaut mieux essayer de comprendre.
Ce qui n'empêche pas la franchise : "voilà ce que je pense, mais tu fais ce que tu veux".
12. Se donner du temps :
A force de multiplier les sorties et les activités, on risque de perdre de vue l'essentiel.
Parfois, il peut être plus agréable d'en faire un peu moins
et d'organiser de vraies occasions de partage avec les gens que l'on aime.
13. Créer des moments conviviaux :
Les repas entre amis, les sorties, les promenades,
toutes les occasions sont bonnes pour vivre des situations chaleureuses et complices.
14. Partager ce que l'on aime :
Un livre, un disque, un film, une balade à pied, la visite d'un musée.
l'amitié a besoin de ces "carburants" pour vivre et se développer.
C'est aussi en faisant ensemble que l'on apprend à s'apprécier mutuellement.
15. Faire signe :
Un petit bonjour, une carte postale, un cadeau sont autant de façons de dire :
"Je pense à toi". Avec de petites attentions, on entretient l'amitié.
Invité- Invité
Le mal du siècle ...
Le mal du siècle ...
Une enseignante est chez elle à l’heure du dîner. Elle a commencé à lire les devoirs faits par ses élèves.
Son mari est près d'elle et joue sur sa tablette.
Pendant qu’elle lit le dernier devoir, des larmes commencent à couler sur son visage.
Le mari voit ça et demande : - Pourquoi tu pleures ma chérie ? Qu’est-ce qui se passe ?
La femme : - Hier, j’ai donné un devoir aux élèves de première année, avec comme sujet : "Mon Souhait dans ce monde moderne."
Le mari : - D'accord, mais pourquoi pleures-tu ? La femme : - C'est le dernier devoir qui me fait pleurer.
Écoute, je te le lis ... "Mon souhait est de devenir un Smartphone. Mes parents aiment tellement leur Smartphone.
Ils sont tellement occupés avec leur Smartphone que parfois ils oublient de s’occuper de moi.
Quand mon père rentre fatigué du travail, il a du temps pour son Smartphone, mais pas pour moi.
Quand mes parents sont en train de faire un travail important et que le Smartphone sonne, ils répondent au téléphone à la première sonnerie.
Mais pas à moi ... même si je pleure. Ils jouent à des jeux sur leur Smartphone, mais pas avec moi.
Ils ne m’écoutent jamais, même quand je suis en train de leur dire quelque chose d’important.
Alors, mon souhait est de devenir un Smartphone !"
A la fin de la lecture, le mari très ému demande à sa femme
Je peux savoir qui a écrit ça ? La femme : - Notre fille !
Une enseignante est chez elle à l’heure du dîner. Elle a commencé à lire les devoirs faits par ses élèves.
Son mari est près d'elle et joue sur sa tablette.
Pendant qu’elle lit le dernier devoir, des larmes commencent à couler sur son visage.
Le mari voit ça et demande : - Pourquoi tu pleures ma chérie ? Qu’est-ce qui se passe ?
La femme : - Hier, j’ai donné un devoir aux élèves de première année, avec comme sujet : "Mon Souhait dans ce monde moderne."
Le mari : - D'accord, mais pourquoi pleures-tu ? La femme : - C'est le dernier devoir qui me fait pleurer.
Écoute, je te le lis ... "Mon souhait est de devenir un Smartphone. Mes parents aiment tellement leur Smartphone.
Ils sont tellement occupés avec leur Smartphone que parfois ils oublient de s’occuper de moi.
Quand mon père rentre fatigué du travail, il a du temps pour son Smartphone, mais pas pour moi.
Quand mes parents sont en train de faire un travail important et que le Smartphone sonne, ils répondent au téléphone à la première sonnerie.
Mais pas à moi ... même si je pleure. Ils jouent à des jeux sur leur Smartphone, mais pas avec moi.
Ils ne m’écoutent jamais, même quand je suis en train de leur dire quelque chose d’important.
Alors, mon souhait est de devenir un Smartphone !"
A la fin de la lecture, le mari très ému demande à sa femme
Je peux savoir qui a écrit ça ? La femme : - Notre fille !
Invité- Invité
Renseignement SVP !
Renseignement SVP !
Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté.
J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler. J'ai, par la suite, découvert que quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique... Son nom était "Renseignement SVP" et il n'y avait rien qu'elle ne savait pas. Renseignement SVP pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.
Ma première expérience personnelle avec ce génie dans une bouteille s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol, et je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie. J'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.
Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier. Le téléphone !!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille.
- Renseignement SVP, dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête. Un click ou deux... et j'entends une petite voix claire me dire :
- Renseignement.
Je dis alors :
- Je me suis fait mal au doigt.
- Est-ce que tu saignes ? m'a demandé la voix. Je lui réponds :
- Non, je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal. Elle me demande alors :
- Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?
Je lui répondis que oui je pouvais.
- Alors, prends un petit morceau de glace et pose le sur ton doigt, me dit-elle.
Après cette expérience, j'ai appelé Renseignement SVP pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc, la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.
Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé Renseignement SVP et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable.
Alors, je lui ai demandé, la gorge serrée :
- Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles, seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?
Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et m'a dit alors, d'une voix si calme :
- Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où l'on peut chanter.
D'une certaine façon, je me sentais mieux.
Une autre fois, j'utilisais le téléphone :
- Renseignement SVP.
- Renseignements, me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors :
- Comment épelez-vous le mot réparation ?
Tout ça se passait dans la ville de Québec. Alors que j'avais 9 ans, nous avons déménagé à l'autre bout de la province, à Baie-Comeau. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. Renseignement SVP appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée.
Alors que je me dirigeais vers l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle a eus à consacrer de son temps pour un petit garçon.
Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais donc près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec mon frère, qui vit toujours à Québec.
Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et dit :
- Renseignement SVP. Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissait si bien :
- Renseignement.
Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire :
- Pouvez-vous m'aider à épeler le mot réparation ?
Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre :
- Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant.
Je me mis à rire et lui dit :
- C'est donc toujours vous ! Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années.
- Je me demande, dit-elle, si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfant et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels.
Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pourrais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter mon frère :
- Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally, me répondit-elle.
Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec, une voix différente me répondit :
- Renseignement. J'ai donc demandé à parler à Sally.
- Êtes-vous un ami ? me demanda la voix inconnue. Je lui répondis :
- Oui, un vieil ami. J'entendis alors la voix me dire :
- Je suis désolée d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a cinq semaines déjà.
Avant même que je n'ai le temps de raccrocher, elle me dit :
- Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul ? Je répondis :
- Oui.
- Et bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire... Ce message disait :
- Dites-lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où l'on peut chanter. Il saura ce que je veux dire...
Je lui dis donc merci et raccrochai.
Et oui, je savais ce que Sally voulait dire...
Ne sous-estimez jamais l'influence que vous pouvez avoir sur les autres. La vie de qui avez-vous touché aujourd'hui ?
(Anonyme)
Invité- Invité
N'abandonne surtout pas !
N'abandonne surtout pas !
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Anonyme
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Anonyme
Invité- Invité
Entretien d'un fils avec son Père…
Entretien d'un fils avec son Père…
Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
* Papa, est-ce que je peux te poser une question?
* Bien sûr!
* Combien gagnes-tu de l'heure?
* Mais ça ne te regarde pas fiston!
* Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
* Bon, si tu veux absolument savoir. $35.00 de l'heure.
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
* Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
* Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
* Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important…
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
* Dors-tu fiston?
* Non, papa!
* Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé.
* Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00.
Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.
* Mais pourquoi voulais-tu $10.00 ?
Tu en as $25.00! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
* C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez.
* Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!
Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !
Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
* Papa, est-ce que je peux te poser une question?
* Bien sûr!
* Combien gagnes-tu de l'heure?
* Mais ça ne te regarde pas fiston!
* Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
* Bon, si tu veux absolument savoir. $35.00 de l'heure.
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
* Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
* Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
* Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important…
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
* Dors-tu fiston?
* Non, papa!
* Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé.
* Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00.
Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.
* Mais pourquoi voulais-tu $10.00 ?
Tu en as $25.00! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
* C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez.
* Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!
Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !
Invité- Invité
Douce solitude
Douce solitude
Seul dans mes appartements
J'accueille ces quelques moments
Où le temps semble s'arrêter
Pour ouvrir les portes de ma liberté
Je regarde par la fenêtre
Comme si j'attendais quelqu'un
En réalisant que je ne voudrais surtout pas
Qu'on m'enlève ce temps à moi
À mes sources, je veux retourner
J'ai la tête pleine d'idées
J'expire, me détends et prends conscience
Que ma vie est remplie de belles expériences
Chacune d'elles est comme une visite
Sur une facette de l'âme qui m'habite
Je ne vois plus les jours comme des défis
Mais des occasions pour moi d'apprécier la vie
Parfois je panique
Incapable d'accueillir cette solitude qui me pique
J'ai soudain cette envie d'être avec quelqu'un
Malgré cela je décide de rester un
J'apprends à m'apprivoiser en ces temps esseulés
Pour mieux apparaître lorsque je renaîtrai
Du silence que la vie m'a confié
Pour écouter cette voix intérieure que j'avais oubliée
Source: Anonyme
Invité- Invité
Il y a des gens qui « existent » ...
Il y a des gens qui « existent » ...
Il y a des gens qui « existent » pour nous.
Peut-être ne les avons-nous vus, aperçus, qu'une seule fois.
Peut-être en avons-nous seulement entendu parler.
Cependant ils sont parmi ces témoins intérieurs
qui nous accompagnent, qui nous sont force et lumière pour vivre.
Tel souvenir, telle image d'homme ou de femme m'aide à vivre depuis des années.
J'ai besoin de savoir que ce sourire, cet humour, ce regard sont toujours vivants,
même de bien loin dans l'espace et dans le temps.
Si je savais qu'ils se sont éteints, le monde et ma vie en seraient ternis et affaiblis.
Comme si l'on annonçait que désormais il n'y aura plus d'étoiles.
Ces êtres crient la vie. Ils sont source, pour beaucoup,
fontaine vive de liberté, chant d'humanité.
Bien au-delà du sommeil de la mort,
leur parole, leurs gestes, leur visage unique donne la vie.
La contagion de leur être, jusqu'où ira-t-elle, fécondité sans limite ?
Même si je n'y donne pas un instant de pensée, j'ai besoin de l'herbe de la colline,
des choeurs des grillons l'été, des enfants partout dans le monde :
je suis tissé de tous ces êtres. Mais comme j'ai besoin de la silhouette
et de la démarche des compagnons intimes de ma vie...
Et peut-être qu'eux aussi, à quelques paliers de la mémoire vivante
qui nourrit la ferveur de leur visage, ont besoin de me reconnaître
et de savoir que je suis toujours le frère entré chez eux.
Gérard Bessière, 2 février 1970
Il y a des gens qui « existent » pour nous.
Peut-être ne les avons-nous vus, aperçus, qu'une seule fois.
Peut-être en avons-nous seulement entendu parler.
Cependant ils sont parmi ces témoins intérieurs
qui nous accompagnent, qui nous sont force et lumière pour vivre.
Tel souvenir, telle image d'homme ou de femme m'aide à vivre depuis des années.
J'ai besoin de savoir que ce sourire, cet humour, ce regard sont toujours vivants,
même de bien loin dans l'espace et dans le temps.
Si je savais qu'ils se sont éteints, le monde et ma vie en seraient ternis et affaiblis.
Comme si l'on annonçait que désormais il n'y aura plus d'étoiles.
Ces êtres crient la vie. Ils sont source, pour beaucoup,
fontaine vive de liberté, chant d'humanité.
Bien au-delà du sommeil de la mort,
leur parole, leurs gestes, leur visage unique donne la vie.
La contagion de leur être, jusqu'où ira-t-elle, fécondité sans limite ?
Même si je n'y donne pas un instant de pensée, j'ai besoin de l'herbe de la colline,
des choeurs des grillons l'été, des enfants partout dans le monde :
je suis tissé de tous ces êtres. Mais comme j'ai besoin de la silhouette
et de la démarche des compagnons intimes de ma vie...
Et peut-être qu'eux aussi, à quelques paliers de la mémoire vivante
qui nourrit la ferveur de leur visage, ont besoin de me reconnaître
et de savoir que je suis toujours le frère entré chez eux.
Gérard Bessière, 2 février 1970
Invité- Invité
J’ai appris
J’ai appris
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
Invité- Invité
L'enfer et le paradis
L'enfer et le paradis
Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu. Il lui dit :
- Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer.
Dieu conduisit le saint homme vers deux portes. Il ouvrit l'une des portes et lui permit de regarder à l'intérieur. Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Au milieu de cette table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux. Le saint homme saliva d'envie. Les personnes assises autour de cette table étaient maigres, livides et malades. Elles avaient toutes l'air affamées. Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachées à leurs bras. Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et cueillir une cuillerée. Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères dans leur bouche. Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances. Dieu dit :
- Tu viens de voir l'enfer.
Dieu et le saint homme se dirigèrent vers la seconde porte. Dieu l'ouvrit. La scène était identique à la précédente. Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût qui fit encore saliver le saint homme. Les personnes autour de la table étaient également équipées des cuillères aux longs manches. Cette fois, cependant, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient les uns aux autres en riant. Le saint homme dit à Dieu :
- Je ne comprends pas !
- C'est simple, répondit Dieu. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres tandis que les gloutons et les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.
Anonyme
Invité- Invité
Le petit garçon
Le petit garçon, son grand-père et les étoiles de mer
Un matin, un petit garçon se promenait sur la plage déserte avec son grand-père. Ils entretenaient tous deux une conversation très enrichissante. Le petit garçon était particulièrement curieux de nature et posait plein de questions à son grand-père, doté d’une très grande sagesse.
À toute les deux minutes, le grand-père se penchait, ramassait quelque chose par terre qu’il rejetait aussitôt dans l’océan. Intrigué, après la dixième fois, le petit garçon s’est arrêté de marcher et a demandé à son grand-père : « Que fais-tu, grand-papa ? »
- Je rejette les étoiles de mer dans l’océan.
- Pourquoi fais-tu cela, grand-papa ?
- Vois-tu, mon petit fils, c’est la marée basse, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage. Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir parce que dans quelques heures elles sécheront sous les rayons chauds du soleil.
- Je comprends, a répliqué le petit garçon, « mais grand-papa, il doit y avoir des milliers d’étoiles de mer sur cette plage, tu ne peux pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop. Et de plus, grand-papa, le même phénomène se produit probablement à l’instant même partout sur des milliers de plages à travers le monde. Ne vois-tu pas, grand-papa, que tu ne peux rien y changer ? »
Le grand-père a souri et s’est penché, il a ramassé une autre étoile de mer. En la jetant à la mer, il a répondu ceci à son petit fils : « Tu as peut-être raison, mon garçon, mais ça change tout pour celle-là ! »
À l’instar du grand-père de cette histoire, vous pourrez peut-être pas changer le monde à vous seul, mais vous pouvez très certainement faire une différence dans la vie des gens autour de vous, une personne à la fois.
« Dans cent ans, l’argent que vous aurez laissé dans votre compte en banque n’aura probablement aucune importance, ni le genre de maison que vous habitiez ou encore moins la marque de votre voiture que vous conduisiez… Mais ce qui pourrait toutefois faire la différence dans notre monde, c’est à quel point vous avez été important dans la vie d’un enfant. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
Un matin, un petit garçon se promenait sur la plage déserte avec son grand-père. Ils entretenaient tous deux une conversation très enrichissante. Le petit garçon était particulièrement curieux de nature et posait plein de questions à son grand-père, doté d’une très grande sagesse.
À toute les deux minutes, le grand-père se penchait, ramassait quelque chose par terre qu’il rejetait aussitôt dans l’océan. Intrigué, après la dixième fois, le petit garçon s’est arrêté de marcher et a demandé à son grand-père : « Que fais-tu, grand-papa ? »
- Je rejette les étoiles de mer dans l’océan.
- Pourquoi fais-tu cela, grand-papa ?
- Vois-tu, mon petit fils, c’est la marée basse, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage. Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir parce que dans quelques heures elles sécheront sous les rayons chauds du soleil.
- Je comprends, a répliqué le petit garçon, « mais grand-papa, il doit y avoir des milliers d’étoiles de mer sur cette plage, tu ne peux pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop. Et de plus, grand-papa, le même phénomène se produit probablement à l’instant même partout sur des milliers de plages à travers le monde. Ne vois-tu pas, grand-papa, que tu ne peux rien y changer ? »
Le grand-père a souri et s’est penché, il a ramassé une autre étoile de mer. En la jetant à la mer, il a répondu ceci à son petit fils : « Tu as peut-être raison, mon garçon, mais ça change tout pour celle-là ! »
À l’instar du grand-père de cette histoire, vous pourrez peut-être pas changer le monde à vous seul, mais vous pouvez très certainement faire une différence dans la vie des gens autour de vous, une personne à la fois.
« Dans cent ans, l’argent que vous aurez laissé dans votre compte en banque n’aura probablement aucune importance, ni le genre de maison que vous habitiez ou encore moins la marque de votre voiture que vous conduisiez… Mais ce qui pourrait toutefois faire la différence dans notre monde, c’est à quel point vous avez été important dans la vie d’un enfant. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
Invité- Invité
La rencontre
La rencontre
J'étais allé, mendiant de porte en porte, sur le chemin du village lorsque ton chariot d'or apparut au loin pareil à un rêve splendide et j'admirais quel était ce Roi de tous les rois !
Mais les espoirs s'exaltèrent et je pensais : c'en est fini des mauvais jours, et déjà je me tenais dans l'attente d'aumônes spontanées et de richesses éparpillées partout dans la poussière.
Le chariot s'arrêta là où je me tenais. Ton regard tomba sur moi et tu descendis avec un sourire. Je sentis que la chance de ma vie était enfin venue.
Soudain, alors, tu tendis ta main droite et dis : "Qu'as-tu à me donner ?"
Ah ! quel jeu royal était-ce là de tendre la main au mendiant pour mendier ! J'étais confus et demeurai perplexe ; enfin, de ma besace, je tirai lentement un tout petit grain de blé et te le donnai.
Mais combien fut grande ma surprise lorsqu'à la fin du jour, vidant à terre mon sac, je trouvai un tout petit grain d'or parmi le tas des pauvres grains. Je pleurai amèrement alors et pensai : "Que n'ai-je eu le coeur de te donner mon tout !".
Rabindranath Tagore
Invité- Invité
Une histoire d´amour
C’était un matin chargé, vers 8h00, quand un homme d’environ 80 ans est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce. Il était pressé car il avait un rendez-vous à 9h00. Je lui dis de s’asseoir sachant que celà prendrait plus d’une heure.
Je le voyais regarder sa montre et j’ai décidé, puisque je n’étais pas occupée avec un autre patient, d’évaluer sa blessure. En l’examinant, j’ai vu qu´elle cicatrisait bien, j’ai pris les instruments nécessaires pour enlever ses points.
Je lui ai demandé s’il avait un rendez-vous avec un autre médecin ce matin, parce qu’il était pressé. L’homme me dit non, qu’il devait aller dans une maison de santé pour déjeuner avec sa femme. Je me suis informée de sa santé. Il m’a dit qu’elle était là depuis quelque temps et qu’elle souffrait d’Alzheimer.
J’ai demandé si elle serait contrariée de son retard. Il a répondu qu’elle ne savait plus qui il était, qu’elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans. Surprise :«Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait pas qui vous êtes?»
Il souriait en me tapotant la main et dit : « elle ne me reconnaît pas, mais MOI, je sais encore qui ELLE est ».
J’ai dû retenir mes larmes quand il m’a quitté, j’avais la chair de poule. Je pensais que c’était le genre d’amour que je voulais. Le vrai amour n’est ni physique, ni romantique. Le vrai amour est l’acceptation de tout ce qui est, a été et sera.
Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout, ils s’organisent du mieux qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont.
La vie n’est pas d’échapper à la tempête mais de danser dans la pluie.
Invité- Invité
La robe rose
La robe rose
Il y avait une petite fille assise toute seule dans un parc. Tout le monde passait près d'elle et ne s'arrêtait pas pour voir pourquoi celle-ci avait l'air si triste. Habillée d'une robe rose un peu défraîchie, pieds nus, cette petite fille assise ne cessait de regarder les gens passer près d'elle. Elle n'essayait jamais de parler ni même d’attirer leur attention. Elle ne bougeait pour ainsi dire pas du tout tant sa tristesse semblait lourde à porter.
Plusieurs personnes passaient près d'elle, mais pourtant aucune n'arrêtait. Chacun semblait bien trop préoccupé par eux-mêmes ou encore ne dégageait qu'indifférence à son égard.
Le jour suivant, toujours intrigué, j'ai décidé, par curiosité, de retourner au parc afin de découvrir si elle était toujours là.
Hé! Oui... elle se trouvait bien au même endroit que la veille, toujours habitée par cette même tristesse qui inondait son beau regard d’enfant. Aujourd'hui c'est décidé, je vais aller vers elle et lui parler.
À mon avis, j’ai bien conscience qu'un parc plein de gens inconnus n'est pas nécessairement un endroit idéal permettant à un jeune enfant, étant seul de surcroît, de pouvoir y jouer et s’y épanouir.
Plus je m'approchais, plus je pouvais percevoir que le dos de la robe de cet enfant cachait une sorte de forme étrange. J'ai songé qu'il s’agissait peut-être de la raison pour laquelle les gens passaient tout droit et ne s'arrêtaient jamais pour lui parler.
Souvent, les défauts physiques sont mal perçus dans notre société et celle-ci va même jusqu’à vous isoler lorsque vous trouvez naturel de vous préoccuper d'une personne qui soit différente des autres.
Comme je me rapprochais, la petite fille triste baissa les yeux pour éviter mon regard. Cela ne me découragea pas, mais plus je m'approchais et plus je pouvais voir nettement cette sorte de difformité dans son dos.
Sa robe masquait grossièrement son infirmité assez marquante.
Je lui ai souri afin de lui signifier que j'avais vu mais que c'était bien correct et que je désirais l'aider et lui parler.
Je me suis assise à côté d'elle et j'ai débuté la conversation par un simple bonjour. La petite fille avait l'air surprise, et me répondit à son tour timidement après m'avoir observé longuement dans les yeux.
Je me suis fait chaleureux avec les yeux pleins de tendresse, elle m'a souri à son tour. Nous avons parlé là, simplement, comme ça, jusqu'à ce que la noirceur s'installe et que le parc soit complètement désert.
Je lui ai demandé pourquoi elle avait l'air si triste. La petite fille m'a regardé d'un air triste et m'a dit : « Parce que je suis différente ». Immédiatement je lui ai répondu : « Certainement que tu l'es » Puis, je lui ai souri tendrement. La petite fille a semblé plus triste encore et m'a répondu : « Je le sais ». Hé! « Petite fille, lui dis-je, tu me fais penser à un ange, gentil et innocent ». Elle m'a regardé, m'a souri, et doucement elle s'est levée : "Vraiment ?..." Dit-elle. « Oui! ! Tu es comme un ange gardien descendu sur terre pour prendre soin de tous ces gens qui marchent autour de toi ». Elle acquiesça d'un signe de la tête et sourit les yeux brillants d’une nouvelle lumière, puis sans que je puisse m’y attendre, elle ouvrit le dos de sa robe rose pour permettre à ses ailes de se déployer librement.
Face à mon regard stupéfait, elle dit : « Je suis effectivement TON ange gardien » en me clignant un superbe clin d’œil. Je ne savais plus quoi dire, je pensais que je rêvais.
Elle me dit : « Pour une fois tu as pensé à quelqu'un d'autre et non qu'à toi-même. Ainsi, mon travail ici bas est terminé, tu peux donc désormais continuer ton évolution avec mon patron qui est ton archange ». Je me suis levé et je lui ai dit : « Attends, explique-moi pourquoi personne n'a pris la peine de s'arrêter pour aider un ange ? (semblant si tristement en détresse). Elle m'a regardé et dit : « Tu étais le seul qui pouvait me voir » puis elle disparut.
Après cela, ma vie a changé dramatiquement. C’est la raison pour laquelle je me sens poussé à vous dire à vous qui me lisez, la phrase suivante :
" Quand vous penserez que vous êtes seul au monde, que vous n'avez rien, et que vous allez jusqu’à croire que tous vos efforts sont vain et bien souvenez-vous que nous possédons tous un ange et le vôtre est toujours là, à vous protéger. "
Offrez la référence de cette page à tous ceux que vous aimez ou que vous croyez pouvoir aider par cette pensée.
Au fond vous savez bien que chacun de vos amis est un ange à sa façon.
La valeur d'un ami est mesurée par son cœur.
Auteur inconnu
Il y avait une petite fille assise toute seule dans un parc. Tout le monde passait près d'elle et ne s'arrêtait pas pour voir pourquoi celle-ci avait l'air si triste. Habillée d'une robe rose un peu défraîchie, pieds nus, cette petite fille assise ne cessait de regarder les gens passer près d'elle. Elle n'essayait jamais de parler ni même d’attirer leur attention. Elle ne bougeait pour ainsi dire pas du tout tant sa tristesse semblait lourde à porter.
Plusieurs personnes passaient près d'elle, mais pourtant aucune n'arrêtait. Chacun semblait bien trop préoccupé par eux-mêmes ou encore ne dégageait qu'indifférence à son égard.
Le jour suivant, toujours intrigué, j'ai décidé, par curiosité, de retourner au parc afin de découvrir si elle était toujours là.
Hé! Oui... elle se trouvait bien au même endroit que la veille, toujours habitée par cette même tristesse qui inondait son beau regard d’enfant. Aujourd'hui c'est décidé, je vais aller vers elle et lui parler.
À mon avis, j’ai bien conscience qu'un parc plein de gens inconnus n'est pas nécessairement un endroit idéal permettant à un jeune enfant, étant seul de surcroît, de pouvoir y jouer et s’y épanouir.
Plus je m'approchais, plus je pouvais percevoir que le dos de la robe de cet enfant cachait une sorte de forme étrange. J'ai songé qu'il s’agissait peut-être de la raison pour laquelle les gens passaient tout droit et ne s'arrêtaient jamais pour lui parler.
Souvent, les défauts physiques sont mal perçus dans notre société et celle-ci va même jusqu’à vous isoler lorsque vous trouvez naturel de vous préoccuper d'une personne qui soit différente des autres.
Comme je me rapprochais, la petite fille triste baissa les yeux pour éviter mon regard. Cela ne me découragea pas, mais plus je m'approchais et plus je pouvais voir nettement cette sorte de difformité dans son dos.
Sa robe masquait grossièrement son infirmité assez marquante.
Je lui ai souri afin de lui signifier que j'avais vu mais que c'était bien correct et que je désirais l'aider et lui parler.
Je me suis assise à côté d'elle et j'ai débuté la conversation par un simple bonjour. La petite fille avait l'air surprise, et me répondit à son tour timidement après m'avoir observé longuement dans les yeux.
Je me suis fait chaleureux avec les yeux pleins de tendresse, elle m'a souri à son tour. Nous avons parlé là, simplement, comme ça, jusqu'à ce que la noirceur s'installe et que le parc soit complètement désert.
Je lui ai demandé pourquoi elle avait l'air si triste. La petite fille m'a regardé d'un air triste et m'a dit : « Parce que je suis différente ». Immédiatement je lui ai répondu : « Certainement que tu l'es » Puis, je lui ai souri tendrement. La petite fille a semblé plus triste encore et m'a répondu : « Je le sais ». Hé! « Petite fille, lui dis-je, tu me fais penser à un ange, gentil et innocent ». Elle m'a regardé, m'a souri, et doucement elle s'est levée : "Vraiment ?..." Dit-elle. « Oui! ! Tu es comme un ange gardien descendu sur terre pour prendre soin de tous ces gens qui marchent autour de toi ». Elle acquiesça d'un signe de la tête et sourit les yeux brillants d’une nouvelle lumière, puis sans que je puisse m’y attendre, elle ouvrit le dos de sa robe rose pour permettre à ses ailes de se déployer librement.
Face à mon regard stupéfait, elle dit : « Je suis effectivement TON ange gardien » en me clignant un superbe clin d’œil. Je ne savais plus quoi dire, je pensais que je rêvais.
Elle me dit : « Pour une fois tu as pensé à quelqu'un d'autre et non qu'à toi-même. Ainsi, mon travail ici bas est terminé, tu peux donc désormais continuer ton évolution avec mon patron qui est ton archange ». Je me suis levé et je lui ai dit : « Attends, explique-moi pourquoi personne n'a pris la peine de s'arrêter pour aider un ange ? (semblant si tristement en détresse). Elle m'a regardé et dit : « Tu étais le seul qui pouvait me voir » puis elle disparut.
Après cela, ma vie a changé dramatiquement. C’est la raison pour laquelle je me sens poussé à vous dire à vous qui me lisez, la phrase suivante :
" Quand vous penserez que vous êtes seul au monde, que vous n'avez rien, et que vous allez jusqu’à croire que tous vos efforts sont vain et bien souvenez-vous que nous possédons tous un ange et le vôtre est toujours là, à vous protéger. "
Offrez la référence de cette page à tous ceux que vous aimez ou que vous croyez pouvoir aider par cette pensée.
Au fond vous savez bien que chacun de vos amis est un ange à sa façon.
La valeur d'un ami est mesurée par son cœur.
Auteur inconnu
Invité- Invité
Prouve le moi
Prouve le moi
Un vieil homme entre dans un restaurant et demande au serveur qui il doit voir pour un emploi dans un camp de bûcheron tout près de là. « Vous n’aurez pas à aller très loin », a répliqué le serveur, « le patron du camp de bûcheron est en train de manger ici, il est attablé dans le coin, juste là. »
Le vieil homme s’approche du patron du camp de bûcheron. Et lui dit : « Je cherche un emploi de bûcheron. » En le voyant, le patron tente alors de le convaincre que cet emploi n’est pas fait pour lui. Selon lui, ce vieil homme serait bien incapable d’abattre de gros arbres et d’atteindre ses quotas quotidiens. Le vieil homme a dit alors au patron : « Donnez-moi quelques instants de votre temps et je vais vous montrer ce que je peux faire. »
Aussitôt arrivés au camp de bûcheron, le vieil homme prend alors une hache et commence à couper un énorme arbre en un temps record. « C’est incroyable ! » s’est exclamé le patron. « Où avez-vous appris à bûcher des arbres comme ça ? » « Eh bien, » répondit le vieil homme, « vous avez entendu parler de la forêt du Sahara ? » Hésitant, le patron répond : « vous ne voulez pas dire le désert du Sahara ? » Le vieil homme a souri à pleines dents et a déclaré : »Certainement, c’est comme ça qu’on l’appelle maintenant ! »
Les gagnants sont de « petits diseur mais de gros faiseurs. » Ce sont des gens qui passent à l’action. Ils savent que les autres ne leur manifesteront jamais de reconnaissance pour ce qu’ils auraient pu faire, pour ce qu’ils auraient dû faire ou ce qu’ils pourraient éventuellement faire. La reconnaissance viendra à vous seulement quand vous aurez prouvé que vous pouvez le faire. Cessez de dire ce que vous avez l’intention de faire et faites-le maintenant !
« Ne jugez jamais un homme sur ses paroles mais sur ces actions. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
Un vieil homme entre dans un restaurant et demande au serveur qui il doit voir pour un emploi dans un camp de bûcheron tout près de là. « Vous n’aurez pas à aller très loin », a répliqué le serveur, « le patron du camp de bûcheron est en train de manger ici, il est attablé dans le coin, juste là. »
Le vieil homme s’approche du patron du camp de bûcheron. Et lui dit : « Je cherche un emploi de bûcheron. » En le voyant, le patron tente alors de le convaincre que cet emploi n’est pas fait pour lui. Selon lui, ce vieil homme serait bien incapable d’abattre de gros arbres et d’atteindre ses quotas quotidiens. Le vieil homme a dit alors au patron : « Donnez-moi quelques instants de votre temps et je vais vous montrer ce que je peux faire. »
Aussitôt arrivés au camp de bûcheron, le vieil homme prend alors une hache et commence à couper un énorme arbre en un temps record. « C’est incroyable ! » s’est exclamé le patron. « Où avez-vous appris à bûcher des arbres comme ça ? » « Eh bien, » répondit le vieil homme, « vous avez entendu parler de la forêt du Sahara ? » Hésitant, le patron répond : « vous ne voulez pas dire le désert du Sahara ? » Le vieil homme a souri à pleines dents et a déclaré : »Certainement, c’est comme ça qu’on l’appelle maintenant ! »
Les gagnants sont de « petits diseur mais de gros faiseurs. » Ce sont des gens qui passent à l’action. Ils savent que les autres ne leur manifesteront jamais de reconnaissance pour ce qu’ils auraient pu faire, pour ce qu’ils auraient dû faire ou ce qu’ils pourraient éventuellement faire. La reconnaissance viendra à vous seulement quand vous aurez prouvé que vous pouvez le faire. Cessez de dire ce que vous avez l’intention de faire et faites-le maintenant !
« Ne jugez jamais un homme sur ses paroles mais sur ces actions. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
Invité- Invité
Je veux t'aimer sans m'agripper,
Je veux t'aimer sans m'agripper,
t'apprécier sans te juger,
te rejoindre sans t'envahir,
t'inviter sans insistance,
te laisser sans culpabilité,
te critiquer sans te blâmer,
t'aider sans te diminuer.
Si tu veux bien m'accorder la même chose,
alors nous pourrons vraiment nous rencontrer
et nous enrichir l'un l'autre.
V. Satir
t'apprécier sans te juger,
te rejoindre sans t'envahir,
t'inviter sans insistance,
te laisser sans culpabilité,
te critiquer sans te blâmer,
t'aider sans te diminuer.
Si tu veux bien m'accorder la même chose,
alors nous pourrons vraiment nous rencontrer
et nous enrichir l'un l'autre.
V. Satir
Invité- Invité
Cadeau d´insultes
Cadeau d´insultes
Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable d’affronter n’importe quel adversaire.
Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair.
Ce jeune et impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Ils se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues, y compris à ses ancêtres.
Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.
Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
- Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
- Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda le samouraï.
- A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
- Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son cœur.
Invité- Invité
Noa Noa
Noa Noa
J'étais bien loin de ces prisons, les maisons européennes. Une case maorie n'exile, ne retranche point l'individu de la vie, de l'espace, de l'infini.
Cependant, je me sentais là bien seul. De part et d'autre, les habitants du district et moi, nous nous observions, et la distance entre nous restait entière.
Dès le surlendemain j'avais épuisé mes provisions. Que faire ? Je m'étais imaginé qu'avec de l'argent je trouverais tout le nécessaire de la vie. Erreur ! c'est à la nature qu'il faut s'adresser pour vivre et elle est riche et elle est généreuse : elle ne refuse rien à qui va lui demander sa part des trésors qu'elle garde dans ses réserves, sur les arbres, dans la montagne, dans la mer. Mais il faut savoir grimper aux arbres élevés, aller dans la montagne et en revenir chargé de fardeaux pesants, prendre le poisson, plonger, arracher dans le fond de la mer le coquillage solidement attaché au caillou.
J'étais donc, moi, l'homme civilisé, inférieur, pour l'instant, aux sauvages vivant heureux autour de moi, dans un lieu où l'argent, qui ne vient pas de la nature, ne peut servir à l'acquisition des biens essentiels que la nature produit ; et comme, l'estomac vide, je songeais tristement à ma situation, j'aperçus un indigène qui gesticulait vers moi en criant. Les gestes, très expressifs, traduisaient la parole et je compris : mon voisin m'invitait à dîner. Mais j'eus honte. D'un signe de tête je refusai. Quelques minutes après, une petite fille déposait sur le seuil de ma porte, sans rien dire, quelques aliments proprement entourés de feuilles fraîches cueillies, puis se retirait. J'avais faim ; silencieusement aussi j'acceptai. Un peu plus tard, l'homme passa devant ma case et, me souriant, sans s'arrêter, me dit sur le ton interrogatif ce seul mot : « Paia ? ». Je devinai : « Es-tu satisfait ? »
Ce fut, entre ces sauvages et moi, le commencement de l'apprivoisement réciproque. Sauvages ! Ce mot me venait inévitablement sur les lèvres quand je considérais ces êtres noirs aux dents de cannibales.
Déjà pourtant je commençais à comprendre leur grâce réelle. Cette petite tête brune aux yeux tranquilles, par terre, sous des touffes de larges feuilles de giromons, ce petit enfant qui m'étudiait à mon insu et s'enfuit quand mon regard rencontra le sien... Comme eux pour moi, j'étais pour eux un objet d'observation, l'inconnu, celui qui ne sait ni la langue ni les usages, ni même l'industrie la plus initiale, la plus naturelle de la vie. Comme eux pour moi, j'étais pour eux le « Sauvage ». Et c'est moi qui avais tort, peut-être.
Paul Gauguin, Noa Noa (extraits), 1897
Invité- Invité
Combien coûte un miracle?
Combien coûte un miracle?
Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew. Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sous. Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit appartement parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison. Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent. Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée, "seulement un miracle peut le sauver maintenant." Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.
Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur. Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.
Une grande enseigne rouge d'un chef indien au-dessus de la porte. Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien. Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant qu'elle pouvait faire. Pas bon. Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre. Cela avait marché! "Et que veux-tu?" demanda le pharmacien, "je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps," lui dit-il sans attendre une réponse à sa question. "Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère," répondit Tess avec le même ton. "Il est vraiment, vraiment malade... et je veux acheter un miracle." "Je te demande pardon?" dit le pharmacien, "son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?" "Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. 'Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider " dit le pharmacien plus doucement. "Écoutez, j'ai l'argent pour payer.
Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte." Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé. Il se pencha vers la petite fille et lui demanda, "quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?" "Je ne sais pas," répondu Tess. "Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération. Mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser mon argent ". "Combien tu as?" demanda l'homme de Chicago, "un dollar et onze cents," répondit Tess tout bas, "et c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore plus s'il le faut. "Bien, quelle coïncidence," a sourit l'homme. "Un dollar et onze cents, le prix exact d'un miracle pour les petits frères." Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit sa mitaine et dit "emmène-moi où tu demeure. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin."
Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L'opération a été faite sans coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin, "cette chirurgie", chuchota sa mère, " fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté?" Tess a sourit. Elle savait exactement combien le miracle avait coûté... un dollar et onze cents... plus la foi d'un enfant. Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient…
Invité- Invité
Croire en son rêve
Croire en son rêve
Il était une fois une course... de grenouilles
L'objectif était d'arriver en haut d'une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime, et toutes les phrases que l'on entendit furent de ce genre : "Quelle peine !!! Elles n'y arriveront jamais !"
Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper
Et les gens continuaient :
"Quelle peine !! Elles n'y arriveront jamais !"
Et les grenouilles s'avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.
A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la cime.
Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.
L'une d'entre elles s'approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l'épreuve... et découvrit qu'elle... était sourde !!
... N'écoute pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives car elles volent les meilleurs espoirs de ton coeur !
... Rappelle-toi pour toujours du pouvoir qu'ont les mots que tu entends ou que tu lis !
C'est pourquoi...
... sois TOUJOURS POSITIF !
En résumé : Sois toujours sourd quand quelqu'un te dit que tu ne peux réaliser tes rêves.
Il était une fois une course... de grenouilles
L'objectif était d'arriver en haut d'une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime, et toutes les phrases que l'on entendit furent de ce genre : "Quelle peine !!! Elles n'y arriveront jamais !"
Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper
Et les gens continuaient :
"Quelle peine !! Elles n'y arriveront jamais !"
Et les grenouilles s'avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.
A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la cime.
Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.
L'une d'entre elles s'approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l'épreuve... et découvrit qu'elle... était sourde !!
... N'écoute pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives car elles volent les meilleurs espoirs de ton coeur !
... Rappelle-toi pour toujours du pouvoir qu'ont les mots que tu entends ou que tu lis !
C'est pourquoi...
... sois TOUJOURS POSITIF !
En résumé : Sois toujours sourd quand quelqu'un te dit que tu ne peux réaliser tes rêves.
Invité- Invité
Ma relation avec toi
Ma relation avec toi
TOI et MOI vivons une relation que j'estime et que je veux sauvegarder.
Chacun de nous demeure cependant une personne distincte ayant ses propres besoins et le droit de les satisfaire. Je veux respecter ton droit de choisir tes propres croyances et d'établir tes propres valeurs même si elles diffèrent des miennes.
Lorsque tu me parles de tes problèmes, je veux t'écouter pour te comprendre et t'aider à découvrir tes propres solutions plutôt que de répondre des miennes.
Lorsque ma façon d'agir t'empêche de satisfaire tes besoins, je t'encourage à me dire ouvertement et sincèrement ce que tu ressens; alors je t'écoute et j'essaie de modifier mon comportement.
Lorsque ta façon d'agir m'empêche de satisfaire mes besoins, je t'exprime ouvertement et sincèrement mes sentiments, car j'ai confiance que tu respectes suffisamment mes besoins pour m'écouter et essayer de modifier ton comportement.
Dans les situations où, ni toi et ni moi, ne pouvons changer notre façon d'agir pour permettre à l'autre de satisfaire ses besoins, engageons nous à résoudre ces inévitables conflits sans recourir au pouvoir pour gagner aux dépends de l'autre. Je respecte tes besoins et je veux aussi respecter les miens. Appliquons-nous à trouver des solutions acceptables pour chacun de nous ; tu peux y satisfaire tes besoins et moi aussi. Personne ne perd, nous y gagnons tous les deux.
Ainsi, nous continuons à nous épanouir l'un et l'autre car nous en retirons, toi et moi, satisfaction. Chacun de nous peut devenir ce qu'il est capable d'être.
Nous poursuivons notre relation dans le respect et l'amour mutuel, dans l'amitié et la paix.
Thomas Gordon
TOI et MOI vivons une relation que j'estime et que je veux sauvegarder.
Chacun de nous demeure cependant une personne distincte ayant ses propres besoins et le droit de les satisfaire. Je veux respecter ton droit de choisir tes propres croyances et d'établir tes propres valeurs même si elles diffèrent des miennes.
Lorsque tu me parles de tes problèmes, je veux t'écouter pour te comprendre et t'aider à découvrir tes propres solutions plutôt que de répondre des miennes.
Lorsque ma façon d'agir t'empêche de satisfaire tes besoins, je t'encourage à me dire ouvertement et sincèrement ce que tu ressens; alors je t'écoute et j'essaie de modifier mon comportement.
Lorsque ta façon d'agir m'empêche de satisfaire mes besoins, je t'exprime ouvertement et sincèrement mes sentiments, car j'ai confiance que tu respectes suffisamment mes besoins pour m'écouter et essayer de modifier ton comportement.
Dans les situations où, ni toi et ni moi, ne pouvons changer notre façon d'agir pour permettre à l'autre de satisfaire ses besoins, engageons nous à résoudre ces inévitables conflits sans recourir au pouvoir pour gagner aux dépends de l'autre. Je respecte tes besoins et je veux aussi respecter les miens. Appliquons-nous à trouver des solutions acceptables pour chacun de nous ; tu peux y satisfaire tes besoins et moi aussi. Personne ne perd, nous y gagnons tous les deux.
Ainsi, nous continuons à nous épanouir l'un et l'autre car nous en retirons, toi et moi, satisfaction. Chacun de nous peut devenir ce qu'il est capable d'être.
Nous poursuivons notre relation dans le respect et l'amour mutuel, dans l'amitié et la paix.
Thomas Gordon
Invité- Invité
Les mains de ma grand-mère
Les mains de ma grand-mère
Ma grand-mère, ayant plus de 90 ans, était assise, l’air affaiblie sur le banc du patio.
Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains.
Quand je me suis assise auprès d’elle, elle ne bougea pas, aucune réaction.
Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence,
je me suis informé si elle était correcte.
Elle leva la tête et me sourit.
« Oui je suis correcte, merci de t’en informer » dit-elle de sa voix forte et claire.
« Je ne voulais pas vous déranger, grand-mère, mais vous étiez assise là,
fixant vos mains et je voulais savoir si tout était correct pour vous » lui ai-je dit.
« As–tu déjà regardé tes mains? » me dit-elle.
« Je veux dire vraiment regarder tes mains? »
J’ai alors lentement ouvert mes mains et les fixai.
Les retournai, m’en frottai les paumes.
« Non, je pense que je n’ai pas vraiment regardé mes mains »
lui dis-je et me demandant ce qu’elle voulait dire.
Grand-mère me sourit et me raconta cette histoire.
« Arrêtes toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as,
comment elles t’ont si bien servi depuis ta naissance. »
Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies ont été les outils
que j’ai toujours utilisés pour étreindre la vie.
Elles m’ont permis de m’agripper et d' éviter de tomber quand
je trottinais lorsque j’étais enfant.
Elles ont porté la nourriture à ma bouche et habillée.
Enfant, ma mère m’a montré à les joindre pour prier.
Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre.
Elles ont été sales, coupées et rugueuses et enflées.
Elles ont été maladroites quand j’ai tenté de tenir mon premier enfant.
Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde
que j’aimais quelqu’un d’unique et spécial.
Elles ont écrit mes lettres à ton grand-père, et ont tremblé quand je l’ai enterré.
Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits enfants, consolé les voisins
et tremblaient de rage quand je ne comprenais pas.
Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps.
Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd’hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi,
ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j’ai fait et des accidents de ma vie.
Mais le plus important est que ce seront ces même mains que Dieu attrapera
pour m’amener avec lui dans son Paradis.
Avec elles, Il m’élèvera à ses cotés.
Et là, je pourrai les utiliser pour toucher la face du Christ »
Pensive, je regardais ses mains et les miennes.
Je ne les verrai jamais plus du même œil.
Plus tard, Dieu tendit ses mains et attira grand-mère à lui.
Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles,
ou quand je caresse le visage de mes enfants ou de mon époux,
je pense à grand-mère.
Je sais qu’elle a été soutenue par les mains de Dieu.
Et je veux, moi aussi, un jour, toucher la face de Dieu et sentir
Ses mains sur mon visage.
Les passeurs
Ma grand-mère, ayant plus de 90 ans, était assise, l’air affaiblie sur le banc du patio.
Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains.
Quand je me suis assise auprès d’elle, elle ne bougea pas, aucune réaction.
Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence,
je me suis informé si elle était correcte.
Elle leva la tête et me sourit.
« Oui je suis correcte, merci de t’en informer » dit-elle de sa voix forte et claire.
« Je ne voulais pas vous déranger, grand-mère, mais vous étiez assise là,
fixant vos mains et je voulais savoir si tout était correct pour vous » lui ai-je dit.
« As–tu déjà regardé tes mains? » me dit-elle.
« Je veux dire vraiment regarder tes mains? »
J’ai alors lentement ouvert mes mains et les fixai.
Les retournai, m’en frottai les paumes.
« Non, je pense que je n’ai pas vraiment regardé mes mains »
lui dis-je et me demandant ce qu’elle voulait dire.
Grand-mère me sourit et me raconta cette histoire.
« Arrêtes toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as,
comment elles t’ont si bien servi depuis ta naissance. »
Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies ont été les outils
que j’ai toujours utilisés pour étreindre la vie.
Elles m’ont permis de m’agripper et d' éviter de tomber quand
je trottinais lorsque j’étais enfant.
Elles ont porté la nourriture à ma bouche et habillée.
Enfant, ma mère m’a montré à les joindre pour prier.
Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre.
Elles ont été sales, coupées et rugueuses et enflées.
Elles ont été maladroites quand j’ai tenté de tenir mon premier enfant.
Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde
que j’aimais quelqu’un d’unique et spécial.
Elles ont écrit mes lettres à ton grand-père, et ont tremblé quand je l’ai enterré.
Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits enfants, consolé les voisins
et tremblaient de rage quand je ne comprenais pas.
Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps.
Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd’hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi,
ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j’ai fait et des accidents de ma vie.
Mais le plus important est que ce seront ces même mains que Dieu attrapera
pour m’amener avec lui dans son Paradis.
Avec elles, Il m’élèvera à ses cotés.
Et là, je pourrai les utiliser pour toucher la face du Christ »
Pensive, je regardais ses mains et les miennes.
Je ne les verrai jamais plus du même œil.
Plus tard, Dieu tendit ses mains et attira grand-mère à lui.
Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles,
ou quand je caresse le visage de mes enfants ou de mon époux,
je pense à grand-mère.
Je sais qu’elle a été soutenue par les mains de Dieu.
Et je veux, moi aussi, un jour, toucher la face de Dieu et sentir
Ses mains sur mon visage.
Les passeurs
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Je sais par elle que je suis vivant
Je sais par elle que je suis vivant
« Une léproserie... Au sens le plus navrant, le plus odieux du terme... Des hommes qui ne font rien, auxquels on ne fait rien et qui tournent en rond dans leur cour, dans leur cage... Des hommes seuls. Pis : abandonnés. Pour qui tout est déjà silence et nuit.
L'un d'eux pourtant - un seul - a gardé les yeux clairs. Il sait sourire et, lorsqu'on lui offre quelque chose, dire merci. L'un d'eux - un seul - est demeuré un homme.
La religieuse voulut connaître la cause de ce miracle. Ce qui le retenait à la vie... Elle le surveilla. Et elle vit que chaque jour, par-dessus le mur si haut, si dur, un visage apparaissait. Un petit bout de visage de femme, gros comme le poing, et qui souriait. L'homme était là, attendant de recevoir ce sourire, le pain de sa force et de son espoir... Il souriait à son tour et le visage disparaissait. Alors, il recommençait son attente jusqu'au lendemain.
Lorsque le missionnaire les surprit « C'est ma femme », dit-il simplement. Et après un silence : « Avant que je vienne ici, elle m'a soigné en cachette. Avec tout ce qu'elle a pu trouver. Un féticheur lui avait fourni une pommade. Elle m'en enduisait chaque jour la figure... sauf un petit coin. Juste assez pour y poser ses lèvres... Mais ce fut en vain. Alors on m'a ramassé. Mais elle m'a suivi. Et lorsque chaque jour je la vois, je sais par elle que je suis vivant... ».
Raoul Follereau, La seule vérité c'est d'aimer, Ed. Flammarion
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